Le Pape Jean-Paul II et les défenseurs de la vie.

 

Le Jeudi 22 Mai 2003, le Pape Jean-Paul II a reçu en audience dans la salle Clémentine du Palais Apostolique, les membres du mouvement pour la vie, mouvement italien, à l’occasion des 25 ans de la législation sur l’avortement en Italie. Il leur a déclaré : - que la vie humaine et sa défense « est l’une des valeurs centrales de la civilisation de l’amour » (O.R. 27 Mai 2003) - que «  la protection de la vie humaine dès sa conception est une condition nécessaire pour édifier un avenir digne de l’homme » (O.R. 27 Mai 2003). Et s’inspirant des courageuses  paroles rappelées par Mère Thérésa, alors qu’on lui remettait le prix Nobel de la paix : «  si nous acceptons qu’une mère de famille puisse supprimer le fruit de son sein, que nous reste-t-il ? L’avortement est le principe qui met en danger la paix du monde », le Pape a déclaré aux représentants :

« C’est vrai ! Il ne peut y avoir de paix authentique sans respect de la vie, en particulier si elle est innocente comme l’est celle des enfants non encore nés . Une cohérence élémentaire exige que celui qui cherche la paix  défende la vie. Aucune action pour la paix ne peut être efficace  si l’on ne s’oppose pas avec la même force aux atteintes contre la vie à chacune de ses étapes, de sa conception à son déclin naturel » (O.R. 27 Mai 2003)

 

Le Journal PRESENT a fait écho de ce discours du Pape avec beaucoup de conviction, dans un article, à la une, signé : Jeanne Smits et intitulé : Le Pape encourage les défenseurs de la vie et, en rouge : « pas de paix véritable sans respect de la vie ». A lire sur le site de PRESENT : www.présent.fr.(Voir nos liens)