LES EPISCOPATS EUROPEENS FAVORABLES A
Dans un texte rédigé par
les évêques d’Europe concluent que « le
traité constitutionnel de l'UE représente un progrès significatif »,
notamment en ce qu'il met en place « un
processus décisionnel plus transparent et efficace au niveau européen ».
Les évêques soulignent également que le
texte « reconnaît l'héritage religieux de l'Europe ainsi que les Eglises et
leur contribution à la société », tout en regrettant l'absence de
référence explicite à la chrétienté.
En conséquence, « tous les chrétiens
sont invités à prendre leur responsabilité en mettant en pratique
le nouveau traité constitutionnel et en le
faisant fonctionner »,
demande le texte. Qu’est-ce que cela signifie
si ce n’est qu’il faut l’approuver,
c’est-à-dire voter « oui » quand il sera soumis à referendum,
comme en France ? N’y a-t-il pas là
intrusion déplacée dans un domaine où le chrétien est libre de
se déterminer en conscience et où les
évêques n’ont aucune compétence particulière !
Certes, ils déplorent que l’on ait
délibérément refusé toute référence
aux origines chrétiennes de l’Europe. A
leurs yeux, toutefois,
cette malhonnêteté intellectuelle ne serait que
secondaire
par rapport à cette « extraordinaire »
avancée que constitueraient
des décisions prises de façon plus «
transparente » et
« efficace ». Et
ceci efface cela ! C’est troquer le droit d’aînesse
chrétien de l’Europe contre le plat de lentilles
d’une hypothétique
transparence et d’une efficacité plus que douteuse.
Sans
compter que le projet de constitution, en
déclarant hors la loi en
Europe toute « discrimination sexuelle »,
ouvre la voie au
« pseudo-mariage » gay.
L’épiscopat français est donc partie prenante de cette prise
position après avoir déploré, en son temps, l’absence de référence
au christianisme et en dénonçant toujours la
vague anticatholique
qui frappe aujourd’hui comme hier
dit maintenant que, finalement, le projet de
constitution est « un
progrès significatif ». Par rapport à quoi ? Ce qui eût
été un
progrès significatif, dans le texte définitif, c’eût
été de rappeler
que le christianisme est constitutif de
l’identité européenne !
De son côté, le nouvel archevêque de
Paris, Mgr Vingt-Trois a implicitement
appelé à voter « oui » en définissant ainsi
l’enjeu du referendum
dans Le Parisien Dimanche (27 mars), le
réduisant à cette alternative :
« Aujourd’hui la question qui nous est
posée est la suivante : voulonsnous
que les ouvriers tchèques aient le même train
de vie que les Français
? Soit nous nous crispons sur nos
intérêts, soit nous pensons être
dans la même barque et, alors, il faut
partager. La réponse que l’on
choisira sera le signal de notre aptitude au
partage universel, dans l’évolution
des rapports entre le monde développé et le
monde sousdéveloppé.»
N°1949 Maisons-Alfort, semaine du 28 mars au 3 avril 2005
« M i e u x v a u t ê t r e i n f o r m é d
’ u n e r é a l i t é s i d é p l a i s a n t e s o i t - e l l e q u ’ ê t r e d u p e d e s a p p
a r e n c e s d o n t o n v o u dr a i t l a p a r e
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Le Bulletin d'André Noël
SYNTHESE HEBDOMADAIRE
des problèmes
politiques français et internationaux
Billet
« Simplification »…
compliquée
Les technocrates sont
pleins de bonne
volonté ! On leur dit de faire
simple. Ils
essaient ! Mais, ayant perdu
contact
avec la réalité, ils se
fourvoient. C’est
bien le cas en ce qui
concerne la déclaration
de détention d’un appareil
de
télévision sur le nouveau
formulaire de
déclaration des revenus. Seuls 4%
des
contribuables n’ont pas de
téléviseur.
Or, selon les premières
déclarations
reçues, ils seraient 14% !
Explication :
au lieu de deux cases «
oui » ou
« non
» pour la possession d’un récepteur,
ils n’ont prévu qu’une case
dans un souci de
simplification ! Spontanément,
beaucoup l’ont cochée, pensant
logiquement que, s’agissant d’une
déclaration, il fallait répondre «
oui »
comme pour les autres
questions. Erreur
fatale ! La question « piége »
est
ainsi formulée : « Si, au 1er
janvier, aucune
de vos résidences n’est
équipée
d’un appareil de télévision,
cochez la
case. » Autrement dit, ceux
qui détiennent
un téléviseur ne devaient
rien
faire et surtout pas cocher !
Résultat :
l’administration doit écrire aux 14% qui
ont coché dans
l’inattention quand
même pour leur demander
confirmation.
Ainsi, la simplification
se complique
et devient coûteuse ! D.G.
On comprend où va la préférence de Mgr
Vingt-Trois ! Il est pour le « partage ». C’est peu de dire que, nous
inviter à dire « oui » à la constitution
européenne pour permettre aux ouvriers tchèques d’avoir « le même train
de vie » que leurs homologues français, c’est affaiblir le débat
en le réduisant à une perspective purement matérialiste.
On aurait pu espérer qu’un évêque de
l’Eglise catholique tînt un discours qui ne s’attache pas exclusivement
aux aspects financiers ou même sociaux de la
construction européenne ! D’autant que ce qui se profile chaque
jour davantage, c’est l’alignement du train de
vie des ouvriers français sur celui des Tchèques. Le
« partage » se
fait déjà dans un sens défavorable à nos compatriotes. Défendre son simple « train de vie »,
pour un smicard menacé par les délocalisations
inter européennes, c’est, à en croire l’ecclésiastique, se crisper sur
ses « intérêts », égoïstement ! Mais dans
quel monde vit-il ? Pas un mot sur l’absence de toute référence au glorieux
passé chrétien de l’Europe !
Comment un tel discours peut-il être
compatible avec les clairs propos de Jean-Paul II qui rappelait le 16
décembre 2002 : « L'Europe existe ;
elle a une histoire, des valeurs, une âme. Il est primordial d'appeler à la
reconnaissance
de l'âme de l'Europe. Depuis plusieurs mois,
ou sein des institutions européennes, nous assistons à
une intensification des attaques
antireligieuses, diffusant une image caricaturale de la spiritualité et une
conception
militante et exclusive de la laïcité. Ces attaques
visent à disqualifier notre héritage religieux pour mieux fonder
« On ne peut pas oublier que c'est la
négation de Dieu et de ses commandements qui ont créé au siècle passé la
tyrannie des idoles exprimée dans la glorification
d'une race, d'une classe, d'un parti, de l'État ou de la nation ?»
Nous avons là, la principale raison de
voter « non », n’en
déplaise aux épiscopats européens en général et à
Mgr Vingt-Trois en particulier.
PROPAGANDE POUR LE
« OUI » AUX FRAIS DU CONTRIBUABLE !
Sous prétexte d’exposer les motifs du
Traité constitutionnel européen, qui sera adressé à tous les électeurs avec
le matériel électoral avant le référendum du
29 mai, on va envoyer aux Français un véritable document de propagande
en faveur du « oui, » aux frais du
contribuable.
L'un des premiers à protester contre ce
procédé a été le
président du Mouvement pour
Philippe de Villiers. Il a porté plainte devant le Conseil
constitutionnel après avoir découvert ce texte qui est
« de
nature à fausser la sincérité du scrutin », ce qui est le moins qu’on
puisse dire. Cet « exposé des motifs » figure
dans un fascicule de douze pages qui fait
partie du matériel électoral qui sera envoyé aux quelque 42 millions
d'électeurs français au plus tard le 14 mai, avec le
texte du Traité constitutionnel européen, ses annexes et
protocoles, ainsi que deux bulletins de vote « oui »
et « non, » après leur avoir expliqué de fait que, le projet étant
excellent, ils n’ont aucune raison de voter « non
»… En préambule, cet exposé des motifs affirme qu'en s'élargissant
aux pays issus du bloc de l'Est, « l'Europe
s'est inscrite dans la ligne de son ambition initiale : créer un espace
de paix, de démocratie et de prospérité », mais que « pour continuer à
progresser, elle doit nécessairement
renouveler ses méthodes et adapter ses institutions.
» Il est présenté comme
une évidence que l’Europe doit
« progresser ».
Or, c’est précisément ce que nombre de Français et d’Européens contestent !
Dire que cette
Europe-là va engendrer la paix, la
démocratie et la prospérité, c’est de la propagande pure et simple et
non un
bénin « exposé des motifs » !
Sur la même lancée, on assure que le
Traité doit ainsi permettre à l'Europe de « répondre à de nouvelles attentes
: plus de liberté et de sécurité, plus de
croissance et de solidarité, une présence plus forte dans le monde, la
protection de l'environnement, la défense de notre
identité, le respect de la diversité culturelle. » Il faut beaucoup
d’audace aux rédacteurs de ce libelle électoral pour promettre que la constitution
respectera notre identité
alors que son but est justement de la diluer
davantage dans une gigantesque machine technocratique supranationale
! La preuve en est que la plupart des
décisions nous concernant seront prises à la majorité, si bien que
nous n’aurons plus prise sur notre destin qui
sera décidé ailleurs. Le nombre de nos représentants, avec cette nouvelle
constitution, ne sera-t-il pas diminué ?
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N° 1949 2
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Suivent quatre chapitres : « une union
fondée sur des valeurs et des objectifs communs », « un fonctionnement
rendu plus efficace et plus démocratique », « entre l'Europe et les Etats, des
compétences clarifiées », « des politiques
européennes renforcées pour répondre à de nouvelles
attentes ». Certes, les «
compétences » seront clarifiées
: les Etats
nationaux n’en auront pratiquement plus, Bruxelles les prenant en charge.
En conclusion, le texte affirme que le
Traité européen, « en confortant les acquis de l'Europe, lui permet de
poursuivre ses progrès au bénéfice de chacun de ses
peuples ». Propagande
que tout cela !
A aucun moment, dans cet exposé des motifs entièrement
consacré aux bénéfices supposés du Traité, il n'est
fait allusion aux oppositions qu'il rencontre,
aux objections qui sont
formulées par ceux qui veulent voter
« non », quitte à
les démonter par la production d’arguments solides
Philippe de Villiers, accuse « l'Elysée et
Matignon » d'avoir réalisé ces pages avec l'aide d'une agence de
communication. Il s'agit là d'un « véritable document de propagande grossière,
évidemment de nature à fausser
la sincérité du scrutin ». Le plus scandaleux est que beaucoup
d’électeurs découragés à juste titre par la lecture
des 445 articles sans compter les annexes, se
contenteront de lire ce seul document pour tenter d’éclairer leur lanterne.
Ajoutons que tous les ministres payés
eux aussi par les contribuables, vont aller prêcher « la bonne parole
» du « oui »
partout en France. Espérons que cette débauche de moyens pas très honnêtes
déployés au service
du « oui » provoquera l’effet contraire à
celui recherché et que les Français, las d’être pris pour des gogos,
diront « non », un « non » franc et massif.
RACISME ANTI-BLANC
: LES BOUCHES S’OUVRENT DANS… « LE MONDE »
Dans le Bulletin 1947, nos lecteurs se
souviennent que nous avions livré des témoignages de lycéens agressés
du seul fait qu’ils étaient Français. Nous
avions tiré cette information du journal Le Monde paru le 10 mars.
Nous n'avons pas été les seuls à réagir. Des
lecteurs du Monde ont saisi, eux aussi, cette occasion pour fournir
leur témoignage et exprimer leur sentiment sur
la question. Ils savent
maintenant qu’on peut le dire dans les
colonnes de ce quotidien, sans risquer de
poursuites. Le « médiateur » du Monde , Rober Solé, leur a largement
ouvert ses colonnes (Le Monde du 26
mars). Un véritable florilège…
Militant antiraciste, membre du syndicat
SUD-Education (proche de l'extrême gauche), cet enseignant précisait
: « Il s'agissait d'agressions de type
racial (...). Je n'ai vu que des Noirs agresser des Blancs. »
Autre intervention d’un humour grinçant :
« Le Monde a eu, de toute évidence, un instant d'égarement dans son
traitement des manifestations lycéennes. Comment
pouvez-vous écrire que des “Noirs” y ont agressé des
“Blancs” ? Je vous rappelle les règles de
l'évangile antiraciste (....) J'attends votre mea culpa. » Le lendemain,
dans un autre courrier, ce même lecteur
corrigeait le tir : « Merci. Malgré l'ironie de mes propos, croyez bien que
je suis heureux que Le Monde regarde enfin
la réalité en face. Cela fait quinze ans que j'attendais cela. J'ai passé
toute mon enfance, à Paris, à affronter
quotidiennement l'attitude hostile des jeunes issus de l'immigration, à qui
vous n'avez jamais rien fait, mais qui vous
haïssent du simple fait que vous êtes blanc ; pour ensuite lire le soir
les chroniques ruisselantes de bonne
conscience de votre journal expliquant jour après jour que le principal
danger menaçant
les victimes et les agresseurs. C'est l'une
des raisons pour lesquelles j'ai quitté ce pays. »
Rémy Mouton, qui écrit, lui, de Berlin
(Allemagne), s'étonne que Le Monde ait mis tant de temps à découvrir ce
qui crevait les yeux depuis longtemps. « J'ai
passé, raconte-t-il, trois années, de 1983 à 1986, au lycée Georges
Braque d'Argenteuil (Val-d'Oise). Si on ne
les connaissait pas d'avance, on apprenait très vite et à grand renfort
de coups, en arrivant dans cet
établissement, un certain nombre de règles de survie : ne jamais adresser la
parole
à un non-Blanc, ne jamais regarder une
fille non-Blanche, et si une bande de «Zoulous» s'approchait, chan-
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Synthèse Hebdomadaire
N° 1949 3
ger immédiatement de trottoir. Tout
manquement coûtait un tabassage (...) »
Ce témoignage vécu est à mettre en
parallèle avec les propos tenus dans Le Monde pour lesquels Jean-Marie
Le
Pen a été condamné deux fois, en première
instance et en appel et que nous rappelons une nouvelle fois : « Le
jour où nous aurons en France, non plus 5
millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont.
Et les Français raseront les murs,
descendront des trottoirs en baissant les yeux. Quand ils ne le font pas,
on leur dit 'qu'est-ce que tu as à me
regarder comme ça, tu cherches la bagarre ? Et vous n'avez plus qu'à filer,
sinon vous prenez une trempe ».
M. Mouton, lecteur méritoire du Monde,
ne dit pas autre chose, et il précise : « Ces règles n'étaient jamais dites.
Il m'a fallu des années pour me rendre
compte qu'elles n'étaient pas universelles et que les gens qui n'avaient
jamais vécus en banlieue ne les connaissaient
pas. Nous n'avions pas le droit de les formuler. Les mots «Noir» et
«Arabe» étaient strictement interdits :
ç'aurait été du racisme. Etonnamment, nous professions un antiracisme
intransigeant, mais uniquement orienté vers soi-même,
quasi masochiste. Il faut croire que nous écoutions nos
professeurs... » Cela ne date donc pas d’hier !
Intéressant aussi est le commentaire du
médiateur du Monde : « Au Monde aussi, reconnaissons-le, une sorte de
tabou interdisait de parler de certaines
choses. Il ne fallait surtout pas “faire le jeu du Front national”. On a
donc tu, avec les meilleures intentions, ce
qui aurait dû être décrit en détail et analysé autrement que par le biais
de sociologues bien-pensants. » Enregistrons l’aveu ! Il est donc
vrai que ce journal – et tant d’autres ! – qui ne
cesse de nous bassiner avec le « droit à
l’information », la sacro-sainte liberté d’expression, à la nécessité de
l’objectivité,
a choisi de « ne pas parler de certaines
choses », c’est-à-dire de cacher à ses lecteurs des faits avérés,
connus de ses journalistes et ce, pour des
raisons politiques ou idéologiques.
C’est ainsi que l’information est traitée
dans les régimes totalitaires : quand les faits contredisent l’idéologie,
ce sont les faits qui ont tort et on doit
donc les dissimuler au peuple, pour la « bonne cause » ou –
comme dit Solé – «
les meilleures intentions », cela va sans dire… Et de mauvaises pour les
militants nationaux !
Ces « journalistes » étaient en réalité
des militants dont le but
seul était de « ne pas faire le jeu du Front national
». Pire : quand le Front national
révélait, lui, ces faits, il était accusé de mensonge, de racisme, de
désinformation
voire de poujadisme ! C’est la même idéologie
qui, pratiquée par la justice, entraîne la condamnation de
Jean-Marie Le Pen
; il connaît le sort des « dissidents » dans les régimes totalitaires,
c’est-à-dire communistes.
Ajoutons que cette saine réaction n’est
pas circonscrite aux lecteurs du Monde , puisqu’un
certain nombre de
personnalités ont signé et lancé une pétition contre le « racisme anti-Blanc » où l’on
peut lire ceci :
« Aujourd'hui les manifestations
lycéennes sont devenues, pour certains, le prétexte à ce qu'on peut appeler des
"ratonnades
anti-Blancs". Des lycéens, souvent seuls, sont jetés au sol, battus, volés
et leurs agresseurs affirment,
le sourire aux lèvres : "Parce qu'ils
sont français." Ceci est un nouvel appel parce que nous ne voulons pas
l'accepter et parce que pour nous, David, Kader et
Sébastien ont le même droit à la dignité. »
Parmi les signataires, on trouve le nom de
Bernard Kouchner. Tout
vient à point pour qui sait attendre…
Le seul tort du Front national est d’avoir
dit courageusement tout haut hier, seul contre tous, ce que d’autres expriment
aujourd’hui, après l’avoir pensé tout bas. Pourquoi aujourd’hui
? D’abord, parce qu’on ne peut pas prétendre
tout le temps qu’il fait nuit en plein jour,
mais aussi, sans doute, pour une autre raison qu’analyse ainsi
Bruno Gollnisch
: « Tant que les victimes étaient les jeunes Français des milieux populaires
de banlieue, la
“gauche caviar”
les considérait avec indifférence. Mais aujourd'hui, ce sont ses enfants qui
trinquent. Pauvres
chéris, qui manifestent contre Fillon et se font
agresser lors de ce devoir civique. “ Allô maman bobo, que font
donc les CRS ? ” Les choses ont bien changé
depuis Mai 68. »
P.R.
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