Flash-Info
au 28 novembre 2008
Sur le site « Exaudiat », on
peut lire ces informations intéressantes
Une cérémonie de funérailles à AMIENS
On nous informe qu’une cérémonie de funérailles à eu lieu samedi dernier en l’église Ste Jeanne d’Arc ou l’on a pu se rendre compte des effets pervers de la nouvelle « pastorale diocésaine » sur lesdites funérailles.
La défunte, sœur d’un prêtre du diocèse et bonne chrétienne, n’a pas eu droit à une messe d’enterrement, bien qu’au moins cinq prêtres étaient présents. Ce sont - nous a-t-on dit - deux religieuses qui ont officié avec prise de parole des membres de la famille.
De partout, on nous informe de cette situation grotesque, où la nouvelle norme des funérailles consiste en des cérémonies où n’interviennent que des laïcs et éventuellement des religieuses, alors que des prêtres sont disponibles. Ce fut encore le cas dans une bourgade proche d’Amiens où un prêtre parent du défunt n’a pas été autorisé à célébrer la messe dans l’église paroissiale au nom d’un principe égalitaire. Après d’âpres tractations, la messe a finalement pu être dite dans une église d’un autre village, mais moins en vue…
Ce problème des nouvelles funérailles est peut-être la
clef du problème des catholiques SDF d’Amiens. Imaginons un instant
que Mgr Bouilleret cède ou prête une de ses églises inutilisées. Il y a
de fortes chances que les familles endeuillées à qui l’on refuse une messe de
funérailles pour leurs défunts, en viennent à s’adresser au prêtre de
Haine de la soutane
« On apprend
qu'un prêtre nouvellement nommé évêque s'est entendu dire par le vicaire
épiscopal de son futur diocèse que s'il persiste à porter la soutane il
s'exposera à un boycott de la cérémonie de consécration par le clergé
local ». S’agit-il de Mgr Aillet, futur
évêque de Bayonne et ancien vicaire général du diocèse de Toulon, membre de
Benoît XVI désavoue-t-il Nostra Aetate ?
Information des plus importante :
La nouvelle en a été donnée par l'AFP, reproduite par Le Figaro, puis Le Salon Beige, Le pape aurait écrit au parlementaire de droite Marcello Pera :
« Vous expliquez avec une grande clarté qu'un dialogue interreligieux au sens strict du mot n'est pas possible, alors que le dialogue interculturel, approfondissant les conséquences culturelles de la décision religieuse de fond, s'avère particulièrement urgent ».
et encore :
« Un vrai
dialogue interreligieux impliquerait de mettre sa propre foi entre
parenthèse, ce qui n'est pas possible ».
Or la déclaration conciliaire Nostra Aetate est entièrement consacrée à la promotion de ce dialogue interreligieux.