Ce qu nous intéresse davantage, ce sont ses amis en France.
Le premier, Jean-Claude Gaudin, lui a remis la médaille de la ville au mois de juin et aboutit enfin
à son grand projet de construire la grande mosquée de Marseille. Pas de
confusion, mais rappelons que nul ne peut servir deux maîtres.
Le second, c'est Nicolas Sarkozy, ministre des cultes, dont le
cas est plus troublant, comme nous le rappelait Michel. Sa vitalité à dénoncer tout fondamentalisme, à
vouloir régenter les religions en bridant l'Eglise catholique en voulant
changer la loi de 1905 et en soufflant dans les voiles de l'Islam détonne avec
les flottements qui entourent ses propos sur la scientologie, secte dangereuse
et reconnue comme telle.
Suite à notre
message sur le danger que représente Sarkozy pour l'Eglise en
France, voici quelques faits troublants (surtout quand on sait que Sarkozy
médiatise toute sa vie...), qui supposeraient son appartenance à une secte.
90
Minutes, émission d'investigation, a suivi quelques pistes susceptibles de
déstabiliser Sarkozy. Au final, une seule mérite d'être creusée : celle qui raconte comment, sous son
règne, le ministère de l'Intérieur a curieusement relâché sa surveillance
autour de l'Eglise
de scientologie, écartant même un
policier spécialement chargé de ce dossier. Interrogé sur ce point,
Nicolas Sarkozy, l'ami de Tom Cruise (scientologue affiché), est visiblement très mal à
l'aise. Avec franchise, Nicolas Sarkozy a reconnu ne
pas avoir d’opinion arrêtée sur une secte pourtant maintes fois dénoncée.
Et la porte-parole de la scientologie en France a expliqué comment la situation
de la secte s’est améliorée lors de son passage à l’Intérieur,
notamment avec le départ d’un policier gênant.
Dans son livre sur
Si cette
hypothèse se confirmait, voilà qui changerait la donne pour 2007...
L'association
Solidarité Des Français (SDF) a eu l'initiative de distribuer une soupe au
cochon aux SDF parisiens. Or l'islam interdit la consommation de porc. Cette distribution
est donc perçue comme un épouvantable acte de racisme à l'encontre de cette
communauté. Mais tout le monde - du moins ceux qui font leurs courses eux-mêmes
- sait que le porc est encore ce qu'il y a de moins cher sur le marché de la
viande (malgré la vache folle et la grippe aviaire). Et puis les SDF ont
faim. Mais cela dépasse le préfet de police de
Paris qui
a empêché la distribution de jeudi dernier.
En Espagne,
les livraisons à l'église catholique de biens meubles et immeubles liés à
l’activité religieuse, par des opérateurs, sont exonérées de
Posté le 17
décembre 200
Voici l'essentiel de l'analyse
pertinente d'un lecteur :
L'alliance entre le marxisme (athée) et
l'islamisme (théocrate) n'est pas si contre nature que cela. Lorsqu'on relit
très attentivement le document "Instruction
sur quelques aspects de la Théologie de la libération" de la congrégation pour la doctrine de la foi, on
ne peut être que frappé par les points communs existant entre
certaines formes les plus extrêmes de la théologie de la libération et les courants
les plus violents de l'Islam :
- on change la source du mal
: non plus le péché comme source du mal mais le pouvoir en place (pour les
islamistes : l'occident devient le Grand Satan)
- on change le but de la religion : non plus la lutte contre
le péché mais la lutte contre ce pouvoir
- toute violence contre ce pouvoir devient ainsi le « sens de
l'histoire » ou la volonté de Dieu et un devoir du croyant (pour
les islamistes : le djihad)
On a ainsi vu, dans les années 70, se
développer dans tout le tiers monde (ainsi qu'en Occident) et pour les mêmes
raisons (pauvreté, pouvoirs violents et corrompus), une récupération d'essence
marxiste de la religion accouchant, dans les pays chrétiens, à la théologie de
la libération, et au salafisme et au wahhabisme dans les pays musulmans.
Au fond, la faucille a la forme d'un
croissant...
Les
conditions dans lesquelles l'équipe sud-coréenne du prof. Hwang, en pointe dans
le clonage humain, récupérait ses ovocytes s'étaient déjà avérées malhonnêtes. Une nouvelle étape vient d'être franchie dans la perte
de crédibilité de cette équipe : au moins 9 des 11 lignées de cellules souches
embryonnaires que les chercheurs disaient issues du clonage n'ont
jamais existé, et les photos les montrant
étaient des
montages. Le prof. Hwang aurait demandé au
journal Science la rétractation de l'article dans lequel il
revendiquait la fabrication de ces lignées.
La révélation
est piteuse, mais logique et cohérente avec le climat mensonger qui entoure la
recherche sur les cellules souches embryonnaires. Toute cette recherche repose
sur la promesse hâtive d'une application thérapeutique - alors qu'au mieux,
cette dernière est lointaine et aléatoire. Rappelons l'avertissement du Britannique Lord Winston, lui-même chercheur sur les
cellules souches embryonnaires : "Je considère la vague actuelle
d'optimisme propos des cellules souches embryonnaires avec de plus en plus de
méfiance." Nous aussi.
Mais qu'ont
donc Chirac comme l'Union européenne a vouloir favoriser le clonage des
cellules souches embryonnaire soi disant thérpeutique alors que le clonage des
cellules souches adultes a déjà fait ses preuves ?
Tandis que la
presse ne nous parle quasiment que du projet de
budget européen déjà voué à l'échec, le
Parlement européen a rouvert jeudi 15 décembre le débat sur l'avenir
institutionnel de l'Union, gelé par les non à
Les deux
rapporteurs du Parlement estiment que, si le texte constitutionnel a été réduit
à néant, ils proposent d'établir un nouveau projet. Pire,
cette position se heurte à l'opposition d'un grand nombre d'élus du Parti
populaire européen et du groupe socialiste, qui refusent de prononcer
l'acte de décès de
Les
rapporteurs estiment qu'au cours du second semestre 2007 (donc après
les élections françaises...), il faudra décider ce qu'il doit advenir
du projet de Constitution : abandon, modification partielle ou refonte totale.
Aujourd'hui il est clair que de notre vote en 2007, dépendra l'avenir de cette
constitution et donc de
Dans Présent d'aujourd'hui, Jean Madiran remarque que les textes mis
en cause par les
historiens ne sont pas tous de la même nature :
remettre en cause la loi Gayssot, c'est simplement revenir à la liberté
d'expression; mais en remettant en cause l'article sur l'enseignement du
"rôle positif" de la colonisation, les historiens s'opposent à ce que
le politique fixe les programmes scolaires. Madiran pousse leur raisonnement
jusqu'au bout :
[L]'Etat
républicain a pris la responsabilité d'être patron et maître de l'Education
nationale, c'est-à-dire de la totalité de l'école publique et des écoles sous
contrat [sur ce point, voir ici]. C'est l'Etat seul, en dernière analyse, qui possède
aujourd'hui l'autorité de fixer la "vérité historique" enseignée en
classe et dont l'acquisition fidèle est vérifiée par les examens. Si
les dix-neuf veulent vraiment que la "vérité historique" échappe au
pouvoir politique, qu'ils y réfléchissent donc, et qu'ils réclament une loi
fondamentale, une loi nécessaire, une loi de Séparation : la séparation de
l'école et de l'Etat.
La police a
découvert un stock d'armes à
Clichy-sous-Bois, dans l'enquête sur des braquages et des blanchiments de fonds
supposés financer le terrorisme islamiste international qui a
abouti à 27 gardes à vue depuis lundi.
Il comprend
des armes de guerre, des armes de poing, plusieurs kilos
d'explosifs, dont de la dynamite mais aussi de l'explosif
militaire, de nombreuses munitions et des détonateurs de plusieurs
sortes. Les enquêteurs ont également trouvé des combinaisons noires pouvant
être utiles pour des braquages et pouvant passer pour celle du Raid, des
cagoules, des gilets pare-balles, et une tenue complète de gendarme.
C'était pour la
nuit bleue ? Comme les émeutiers, la police
prépare la nuit du 31 décembre activement...
S'il y a une
chose que les médias ont répétée après le passage sur
"J'ai
attendu trois jours sur le toit de ma baraque, à agiter en vain les mains sous
le tourbillon des hélicos. Ils évacuaient en priorité les Blancs du quartiers
d'à côté."
Mais le
Département de
La police de
Sydney a réussi à maintenir le calme dans la nuit de mardi à mercredi,
arrêtant cinq hommes pour port d'arme, mais menait une enquête sur un feu
déclenché mercredi matin dans une église protestante située dans un
quartier à forte population d'origine arabo-musulmane.
La
Tribune de Genève se demande si ces émeutes
ethnico-religieuses (pour ne pas parler de choc de civilisations) ne vont pas
se mondialiser.
Des militants
musulmans du Pakistan ont appellé à l'élimination des chrétiens. Selon
une information diffusée par l'organisation Christian Solidarity Worldwide (CSW), environ 3000 musulmans se sont réunis vendredi 2
décembre pour la prière à la mosquée Jamia à Sangla Hill. Dans cette même
localité, 3 semaines plus tôt, 3 lieux de cultes chrétien avaient été détruit.
CSW a
rapporté que les responsables musulmans, à
l'aide de haut-parleurs, exhortaient leurs fidèles à éliminer les
chrétiens. La semaine suivante, plus de 2500 musulmans ont renouvelé
leurs appels à des pogroms antichrétiens et exigé la
libération de 88 d'entre eux, qui avaient attaqué des chrétiens.
La Commission Nationale pour
La cour
d'appel de Rouen a relaxé mercredi les membres du groupe de rap Sniper accusés
d'avoir "incité le public à la violence envers la police ou les
représentants de l'Etat" en interprétant l'une de leurs chansons
intitulée "La
France". La cour a jugé "qu'il n'avait
pas eu l'intention d'inciter le public à commettre des actes portant atteinte à
l'intégrité physique des représentants de l'Etat". Les quatre rappers
comparaissaient après une plainte déposée par Dominique de Villepin, alors
ministre de l'Intérieur.
Parmi les
propos incriminés figure: "On n'est pas dupes, en plus on
est tous chauds, pour mission exterminer les ministres et les fachos.
Frères, je lance un appel, on est là pour tout niquer, leur laisser des traces
et des séquelles, avant de crever". Le groupe a affirmé pour sa
défense que "ce texte était simplement une image forte et
rien d'autre pour exprimer un sentiment de haine
et de révolte".
Ce jugement
est scandaleux et hypocrite. Qui pourrait chanter aujourd'hui,
publiquement, en France, sans être condamné, une chanson
affirmant notamment :"en plus on est tous chauds, pour
mission exterminer les racailles et les bougnoules" ou encore "Israël
est une garce", ou bien "On nique l'Algérie... Bientôt à
Alger des blancs au pouvoir" ? Qui pourrait chanter ce plagiat ?
Les députés examinent
une proposition de loi renforçant les sanctions
contre les violences conjugales et porte de 15 à 18 ans l'âge légal de mariage
des femmes. Le ministre de
Mais qui,
parmi nos députés, osera accuser l'Islam ? Car il ne s'agit pas ici d'éradiquer
les pratiques de quelques déséquilibrés, même s'il y en a. Mais de s'opposer à
la règle édictée par le Coran : sourate 4, verset 34 :"quant à celles dont vous craignez la
désobéissance, (...), frappez les". Ou encore : "prends dans ta main un faisceau de
brindilles, puis frappe-la." (sourate 38, verset 44) et "les
hommes sont supérieurs aux femmes" (s. 4, verset 38).
L'association
hyper-violente Act Up a
perturbé la "conférence internationale
sur le VIH et la santé gaie" organisée les 28 et 29 novembre à l'Hôtel
de Ville de Paris. Les militants, pourtant invités, ont déversé un sac de
boîtes vides de médicaments sur la tribune pour protester contre l'invitation à
cette conférence de l'écrivain américain Tony Valenzuela, ancien acteur porno et séropositif, mais adepte du "bareback"
(terme qui désigne les rapports sans préservatif entre
personnes séropositives). Valenzuela est donc très critiqué pour ses écrits en
faveur de l'abandon du préservatif et son analyse faisant du crystal -une drogue dure à la mode dans le milieu homo-
un élément du "principe de plaisir" chez les gays. Est-ce à
dire que les homosexuels de la mairie cautionnent ces pratiques ?
C'est en
effet étrange car la mairie de Paris, victime d'Act Up, avait recasé plusieurs
de ses militants (comme l'adjoint à la culture, Christophe
Girard, et le conseiller de Delanoë, Philippe Lasnier). Mais sans doute, la mairie coupera-t-elle ses
subventions (32000€). A noter également que la presse, d'habitude
prolixe sur les faits des commandos d'Act Up, s'est montrée curieusement
silencieuse sur cette affaire.
A l'heure où
l'histoire de la colonisation provoque une
polémique politique et alors que Chirac veut
instaurer un autre devoir de mémoire, il est
utile de se pencher sur une actualité omise par les médias à savoir que l'esclavage continue d'être
pratiqué dans des pays comme
Le 18 avril
dernier, alors que
plus indignes, où l'on s'écharpe pour savoir quelle date sera la
plus appropriée pour commémorer le passé, il n'est pas inutile de rappeler que
l'esclavage continue d'être pratiqué dans des pays comme
Le 18 avril dernier, alors que
"Mon nom est Simon Aban
Deng. Je suis soudanais, shiluk de par la tribu, chrétien de par la religion.
Mon peuple a été soumis au meurtre de masse, à l'esclavage, au viol
systématique, à la persécution religieuse, à la famine imposée, à la
dislocation, à l'exil. Nous sommes victimes d'un génocide, physique et
culturel. Nous avons été annihilés en tant qu'êtres humains parce que
appartenant à une culture différente. Tout cela ne nous est pas tombé dessus
par hasard : nous avons été et restons les victimes du régime
djihadiste de Khartoum.
Durant les deux génocides commis par les islamistes, nos pertes ont été
énormes. De 1955 à l'indépendance de 1973, 1,5 million de Soudanais chrétiens
ont été éliminés par le gouvernement pro-arabe de Khartoum. De 1983 jusqu'au
récent traité de paix, 2 millions d'êtres humains du Sud-Soudan ont perdu la
vie dans ce que le régime de Khartoum a appelé "une guerre sainte contre
les infidèles". Oui, je suis un infidèle selon leur définition. Je pense
que bon nombre d'entre vous le sont aussi. Nous, les
Noirs "infidèles" du Sud, chrétiens et autres non-musulmans, nous
avons refusé d'obéir aux lois islamiques, nous avons refusé d'être arabisés.
«J'ai été enlevé et donné à une famille arabe comme "cadeau". »
Pour cette raison, mesdames et messieurs, j'ai été une victime de l'esclavage
arabe au Soudan. A neuf ans, mon village a été pillé par les troupes arabes
payées par Khartoum. Alors que je courais me réfugier dans la savane pour
échapper au massacre, j'ai vu mes amis d'enfance se faire abattre. Les vieux et
les malades étaient brûlés vifs dans leur hutte. Les troupes arabes ont fini
par me trouver. J'ai été enlevé et donné à une famille arabe comme "cadeau".
Quand vous me regardez, mesdames et messieurs, voyez-vous un cadeau ? Est ce
que je ressemble à un objet ou à un produit ?
«Maintenant, c'est au tour du Darfour. »
J'ai été un enfant esclave pendant plusieurs années. J'ai été battu à maintes
reprises pour un oui ou pour un non. Parfois même par caprice des enfants de
mon "maître". Je travaillais durement et j'ai dû subir de nombreuses
humiliations. Alors que j'avais été un enfant adoré dans ma famille, j'ai dû
m'habituer à dormir avec les animaux et à nettoyer la terre où je dormais. Je
ne mangeais que les restes dans les plats de mon "maître". Je me
levais le premier et me couchais le dernier, après avoir accompli toutes les
tâches domestiques. La vie d'un esclave est comme l'enfer, mais il n'y a aucune
honte à avoir été un esclave : ce n'est pas un choix. Celui qui devrait avoir
honte, c'est celui qui s'est proclamé le "maître". Si quelqu'un doit ressentir de la honte, ce sont les
intégristes musulmans du régime de Khartoum et leurs alliés dans le monde musulman.
Il est important de ne jamais oublier que les chrétiens africains du Soudan
méridional sont victimes de l'islamisme. La guerre contre nous a été et reste
conduite au nom du djihad.
Il y a 2 ou 3 millions de réfugiés du Sud-Soudan. Ils sont traités comme des
chiens. Ils ne sont pas même considérés comme des citoyens, parce qu'au Soudan
la citoyenneté est basée sur la religion et que seuls les musulmans y ont
droit. Les Africains "infidèles" de cette nation ne sont pas
considérés comme étant de pleins citoyens, bien que presque 90 % de la
population soit noire.
C'est le grand défi des djihadistes de Khartoum : Arabes et Soudanais, ils ont
voulu imposer une culture arabe dans un pays majoritairement peuplé de Noirs.
Ils ont effectué leur travail avec une grande efficacité grâce aaux armes
fournies par leurs amis dans le monde arabe. Quand ils commenttaient leur
génocide contre nous dans le Sud, le monde a simplement regardé ailleurs. Quand
des millions de Noirs africains étaient abattus et des centaines de milliers
d'enfants soudanais étaient asservis, le monde était indifférent. Même l'ONU a
tourné le dos. Maintenant, c'est au tour du Darfour. Certains observent, mais
la plupart sont habitués à ne plus regarder...
«Combien de temps le monde laissera les "infidèles"
être abattus et asservis au nom du djihad ?»
Mesdames et messieurs, je pose cette question en tant que vicitme de
l'esclavage au Soudan : combien de temps le meurtre, l'esclavage, la
persécution religieuse, le viol systématique, la famine imposée et "le
nettoyage ethnique et religieux" vont-ils continuer ? Quand ceux qui ont
le pouvoir d'agir et d'arrêter ces crimes vont-ils le faire?
Je le demande pour mes compagnons chrétiens et animistes du Sud Soudan. Ma voix
est leur voix. Combien de temps le monde laissera les "infidèles"
être abattus et asservis au nom du djihad? Combien de temps le monde se taira
pour ne pas offenser les meurtriers et les défenseurs de l'esclavage ?»
Témoignage recueilli par Caroline Fourest
A Kulp en
Turquie, dans la province de Diyarbakir, une des dernières vieilles églises
arméniennes vient d’être rasée et l’on construit à sa place une mosquée.
En dehors d’Istamboul où, vitrine oblige, elle doit diplomatiquement tolérer un
minimum de survivance chrétienne, elle éradique encore férocement les moindres
restes de ce qui fut jadis la première chrétienté au monde.
La position
de l'ancien dirigeant de Solidarnosc sur
"
Le rejet de
Adopter
Mais Walesa
se range maintenant dans le camp du "non" et complimente les
Français. Présent d'aujourd'hui cite une interview récente dans le
quotidien gratuit 20 Minutes :
"J'étais
content que
On pourrait
accuser Walesa de rejoindre le camp du "non" après la bataille : il
n'en est rien, car la bataille n'est pas terminée.
L'évêque de
Soissons a rejoint le combat de
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L’UE
met en place la loi « Big Brother » anti-vie privée, alerte |
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L’UE
est en train de passer une loi « Big Brother » pour pister toute
communication électronique, alerte |
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Source :
Samizdat.net |
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