Le terrible avertissement de «
L’islam engendre la
destruction de la chrétienté
C’est un article
particulièrement important de Giuseppe de
Après avoir rappelé ce
qu’il reste - c’est-à-dire rien - des communautés chrétiennes jadis
importantes d’Egypte, de Libye, du Maroc, d’Algérie, de Tunisie, de Syrie, de
Palestine, de Jordanie, de Mésopotamie, le Père Giuseppe de
« L’Histoire de
l’islam est une interminable entreprise guerrière pour conquérir les
territoires infidèles. En particulier, toute l’histoire islamique est dominée
par l’idée de la conquête des pays chrétiens de l’Europe occidentale et de
l’Empire romain d’Orient, dont la capitale était Constantinople. Ainsi, durant
plusieurs siècles, islam et chrétienté se sont affrontés dans de terribles
combats, à la suite desquels eut lieu, d’une part, la conquête de
Constantinople (1453), de
Si les musulmans furent un
temps stoppés après la victoire de Lépante, ils ne furent guère longs à
repartir à la conquête politico-religieuse de l’Europe. Et il faudra attendre,
pour les contenir, la libération de Vienne assiégée en 1683 par les Ottomans,
grâce aux armées chrétiennes rassemblées et alliées sous le commandement de
Jean II Sobieski, roi de Pologne.
« En réalité, écrit
de son côté le journaliste Menahem Macina (upjf.org),
pendant environ mille ans l’Europe a été sous la menace permanente de l’islam
et a vu sa survie constamment menacée. Effectivement, durant toute son
histoire, l’islam a montré un visage belliqueux et un esprit de conquête à la
gloire d’Allah, à l’égard des idolâtres qui n’ont pour choix que la conversion
ou la mort. C’est le cas des « peuples du livre » (juifs, chrétiens,
sabéens) que les musulmans doivent « combattre jusqu’à ce que leurs
membres paient le tribut et soient humiliés (Coran, 9.29). »
L’empire d’Occident
résista des siècles. « Jusqu’à l’invasion des Turcs seldjoukides et la
conquête de Constantinople par Mehemet II (1453) qui
conduisirent à la fondation de l’empire ottoman et à la destruction de la
chrétienté d’Antioche », écrit le Père Giuseppe de
Et d’appuyer cette
évidence par le sort tragique d’un prêtre catholique acculé par le fanatisme
islamique : « Le 6 mai 1988, l’évêque catholique John Joseph (du
Soudan) s’est tué en plein tribunal pour protester contre la loi du blasphème
qui punit de mort toute offense envers Mahomet, même par simple allusion.
Ainsi, dire que Jésus est Fils de Dieu est une offense envers Mahomet qui a
déclaré que Jésus n’est pas Fils de Dieu mais son serviteur.(….)
Avec ce type de loi, les chrétiens sont en danger de port permanent. »
Alain Sanders
(Présent du 21 Janvier 2005)