La Ligue Saint Athanase
Familles
Chrétiennes,
Votre
foi est menacée
Oui,
la foi de vos enfants est gravement menacée.
Or,
sans la foi, on ne peut être sauvé. Sans la Foi, il est impossible de
plaire à Dieu, dit Saint Paul (Hb 11 6)
La
foi, qui est la réalité de ce qu’on espère, la preuve de ce que nous
ne voyons pas (Hb 11 1), votre foi, est sapée de toutes parts.
La
journée de samedi dernier à Paris, du 26 juin 2004, journée d’Enfer,
journée diabolique, où un Delanoé, mais
ils sont légions, fut omniprésent, hurlant
sur toutes les radios, sa pensée malsaine, sonne pour moi comme un tocsin.
Le tocsin du mal triomphant parce que protégé par les « puissances »
de ce monde. Cette journée fut corruptrice.
La phrase du discours de Laurent Fabius, prononcée au congrès socialiste
de Dijon, le 17 mai 2003, que Jean Raspail a publiée dans son « terrible »
papier donné au Figaro, le 17 juin 2004: «Quand la Marianne de nos mairies
prendra le beau visage d'une jeune Française issue de l'immigration,
ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement
les valeurs de la République...» me fait trembler. Elle blesse l’âme
de la France chrétienne. Et ils sont légions, là aussi, à penser comme lui.
C’est l’heure de se réveiller, dit Saint Paul. Demain il sera trop tard !…
« C’est dans la famille chrétienne que la vie chrétienne pourra
se conserver au milieu des dangers environnants…à une condition, disait
déjà Saint Paul , c’est que vous demeuriez sur la base solide et ferme
de la Foi (Col 1 23). Et Saint Pierre, de son côté, nous avertit :
« ..Votre ennemi le Diable rôde autour de vous, comme un lion rugissant
en quête d’une proie à dévorer. Résistez-lui, forts dans la foi »
(1 Pet 5 9)
Que
faire ?
Il
faut réagir.
Dès
maintenant, je propose aux paroissiens de la Paroisse Saint Michel,
et à tous les autres, d’entrer dans la « Ligue Saint Athanase ».
Qu’est-ce
que cette ligue Saint Athanase ?
Deux
armes très puissantes et très simples : le Rosaire et le Symbole
de Saint Athanase.
1
– Dire chaque jour le saint chapelet ( autant que possible en famille)
dans la ferme intention que notre France reste chrétienne et ne devienne
pas musulmane.
2
– Réciter chaque dimanche, toute la famille debout réunie autour du
Crucifix ou d’une image de la Vierge, à haute voix, distinctement et
avec foi, le Symbole de Saint Athanase. ( Toute la famille présente,
y compris les tous petits qui ne savent pas encore lire mais qui retiennent
tout)
1
– Le saint Rosaire
C’est
par le Rosaire que nous obtiendrons le salut.
Notre
Dame l’a enseigné à Saint Dominique pour faire disparaître l’hérésie
des Albigeois.
C’est
par le Saint Rosaire que Saint Pie V a obtenu la victoire de Lépante
sur les Turcs et Innocent XI la délivrance de Vienne de la menace musulmane.
Notre
Dame a répété la même demande à Lourde, à Fatima.
Que
tous prennent en main le Saint Rosaire.
Les
Papes, tous les Papes, ne cessent de nous le rappeler avec insistance.
Léon XIII, Saint Pie X, Benoît XV…
Pie
XI écrivait, le 29- 9- 1937 : « Avant tout, la récitation
du Rosaire nourrit la Foi catholique, en faisant méditer, fort à propos,
les mystères du Salut, et elle élève notre pensée au niveau des vérités
de la Révélation ».
Pie
XII lança toute une année mariale et lança de nombreux appels pour que
chaque jour, chaque famille récite au moins le saint Chapelet.
Jean
XXIII et Paul VI ont lancé souvent des appels angoissés sur le même
sujet. « C’est là une forme très adaptée au sens du peuple de
Dieu, très agréable à la Mère du Seigneur et si efficace pour obtenir
les dons du Ciel » (Paul VI)
Jean-Paul
II, lui aussi, lança, l’an dernier, une
année mariale appelant les fidèles à la pratique du Rosaire.
Le
Chapelet est l’échelle du Ciel
Ecoutons
cet appel. Son Cœur Immaculé, nous le savons, elle nous la dit,
à la fin, finira par triompher. Elle l’a dit à Fatima.
2
– Le symbole de saint Athanase
Il
résume l’essentiel de la Foi catholique et rappelle à tous l’obligation
d’être fidèles à la foi jusqu’au bout, pour être sauvés. Cet acte
de foi familial et fervent obtiendra de Dieu, par l’intercession du
Cœur Immaculé de Marie, que la Foi Catholique Romaine, nécessaire au
Salut, reste gravée dans notre cœur et le cœur de tous nos enfants.
Il sera l’antidote qui les préservera du matérialisme et de l’indifférence
religieuse qui nous pénètrent de tous côtés. En voici le texte ;
« Quiconque
veut être sauvé doit, avant tout, tenir la foi catholique
Et
celui qui ne l’aura pas conservée inviolablement et intégralement, sans
aucun doute, périra éternellement.
Or
la foi catholique consiste à vénérer un seul Dieu dans la Trinité et
la Trinité dans l’Unité. Sans confondre les Personnes, ni diviser la
substance.
Car, autre est la personne du Père, autre celle du Fils, autres celle
de l’Esprit-Saint.
Mais
du Père et du Fils et du Saint-Esprit, une est la divinité, égale la
gloire, coéternelle la majesté.
Incréé
est le Père, incréé le Fils, incréé le Saint-Esprit.
Immense est le Père, immense le Fils, immense le Saint-Esprit.
Eternel
est le Père, éternel le Fils, éternel l’Esprit Saint
Et
cependant, il n’y a pas trois éternels , mais un seul Eternel. Ni trois
incréés, ni trois immenses, mais un seul Incréé et un seul Immense.
De
même, tout-puissant est le Père, tout-puissant le Fils, tout-puissant
le Saint-Esprit.
Et
cependant, il n’y a pas trois tout-puissants, mais un seul Tout-Puissant.
De même, le Père est Dieu, le Fils est Dieu et l’Esprit-Saint est Dieu.
Et cependant il n’y a pas trois Dieux, mais un seul Dieu.
De même, le Père est Seigneur, le Fils est Seigneur et l’Esprit-Saint
est Seigneur,
Et
néanmoins, il n’y a pas trois Seigneurs, mais un seul Seigneur.
Car,
de même que nous sommes tenus par la vérité chrétienne de confesser
que chacune des personnes prise à part est Dieu et Seigneur ; ainsi
nous est-il défendu par la religion catholique de dire qu’il y a trois
Dieux ou trois Seigneurs
Le
Père n’est ni fait, ni créé, ni engendré d’aucun autre.
Le
Fils est du Père seul, non pas fait, ni créé, mais engendré.
Le Saint-Esprit est du Père et du Fils, non point fait, ni créé, ni
engendré, mais procédant.
Il n’y a donc qu’un seul Père, et non trois Pères, un seul Fils et non
trois Fils, un seul Esprit-Saint et non trois Esprits-Saints.
Et dans cette Trinité, rien d’antérieur ou de postérieur, rien de plus
grand ou de moins grand : mais les trois personnes sont toutes
coéternelles et co-égales entre elles.
En
sorte qu’en tout, comme on l’a dit plus haut, nous devons vénérer l’Unité
dans la Trinité et la Trinité dans l’Unité.
Celui
donc qui veut être sauvé doit penser ainsi de la Trinité.
Mais
il est nécessaire pour le salut éternel de croire aussi à l’Incarnation
de Notre Seigneur Jésus-Christ conformément à la vraie foi.
Il est donc de la rectitude de la foi que nous croyons et confessions
que Notre Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, est Dieu et homme.
Il est Dieu, engendré de la substance du Père, avant les siècles, et
il est homme, né dans le temps de la substance d’une mère.
Dieu parfait et homme parfait : subsistant dans une âme raisonnable
et une chair humaine.
Egal au Père selon sa divinité. Inférieur au Père selon son humanité.
Et, bien qu’il soit Dieu et homme, il n’est pas deux, mais un seul Christ.
Un, non point par un changement de la divinité en la chair, mais par
assomption de l’humanité en Dieu.
Parfaitement un, non point par confusion de substances, mais par l’unité
de Personne.
Car,
de même que l’âme raisonnable et la chair ne font qu’un homme, ainsi
Dieu et l’homme n’est qu’un seul Christ.
Qui
a souffert pour notre salut, est descendu aux enfers, le troisième jour
est ressuscité des morts.
Il
est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant,
d’où il viendra juger les vivants et les morts.
A
son avènement, tous les hommes ressusciteront avec leurs corps, et devront
rendre compte de leurs actions personnelles.
Et
ceux qui auront fait le bien iront à la vie éternelle ; mais ceux
qui auront fait le mal iront au feu éternel.
Ceci
est la foi catholique.
Celui qui ne la garde pas fidèlement et fermement ne pourra pas être
sauvé.
Gloire
au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Amen ».
Un
texte de Georges Dillinger, écrivain sur l'Islam
Il
me plait de vous communiquer, chers paroissiens de Saint Michel, ce
texte de Georges Dillinger, publié dans le journal Présent du 24 juin
2004, à la une. Il constitue une parfaite
justification de l’existence nécessaire de la « ligue Saint
Athanase ». Il explique bien les dangers de l’Islam qui veut s’installer
en France à l’occasion de l’immigration. .
Les politiques
de Droite et de Gauche en facilitent étonnamment l’installation.
La phrase
de Laurent Fabius, citée plus haut, en est la preuve. Cette phrase est
mortelle. Elle est trahison publique
Aussi s’il
faut aujourd’hui plus que jamais implorer la protection de Notre Dame
- d’où le bien fondé de cette « ligue Saint Athanase »
– il faut aussi connaître la tactique que l’Islam utilise pour pénétrer
chez nous. Cet article de Georges Dillinger le fait merveilleusement
bien comprendre. Il a pour titre : « La double tactique
des activistes de l’Islam ».
Voici l’article.
Bonne lecture !
« La
double tactique des activistes de l’Islam »
Etre sourcilleux
sur la distinction entre l’islam et l’islamisme ne me paraît pas sérieusement
fondé. D’une part, parce que l’islamisme ne foisonne que sur le terreau
de l’islam. L’un ne saurait se développer sans l’autre. D’autre part
et surtout, parce qu’il y a tous les intermédiaires entre le musulman
pratiquant une religion apaisée et insérée dans la société civile et
l’islamiste militant sinon combattant, voire terroriste. Pour ne pas
avoir à choisir entre deux dénominations et deux concepts séparés par
une frontière aussi floue, j’ai choisi de parler ici des activités de
l’islam.
Quand Rachid Kaci nous dit que les islamistes ne sont pas mus par une
idéologie religieuse mais par une idéologie politique, je prétends que
c’est encore de la langue de bois faussement rassurante. Car le mot
politique évoque pour les Français un jeu factice et dérisoire, sans
idéal, sans conviction, sans projet autre que de s’approprier les avantages
matériels d’un pouvoir éphémère. Et le mot évoque aussi ces dirigeants
polichinelles aux ordres des médias et des lobbies. Une idéologie politique
ne serait rien. Ce qui se cache sous des prétextes religieux, c’est
une entreprise combattante, décidée à imposer sa mystique, son fanatisme,
son intolérance absolue, ses inégalités insupportables et la détermination
d’appliquer à tous ceux qui refuseront la conversion le statut infamant
de dhimmis.
L’islam en
France, actuellement, sait jouer magistralement d’un double jeu, d’un
double langage, d’une double tactique, qui sont d’une efficacité redoutable.
Mais de tout temps, pour vaincre des infidèles, la ruse et la duplicité,
quand ce n’est pas la violence, n’ont-elles pas été autorisées, voire
légitimées, par la tradition musulmane ? D’un coté, en effet, il
y a le discours rassurant tout fait de bonnes intentions et de bons
sentiments. De beaux parleurs qui demain se révèleront comme les islamistes
les plus fanatiques, savent tenir, la main sur le cœur, le discours
le plus édifiant. Et ces plaidoyers jouent sur plusieurs tableaux avec
un machiavélisme consommé. En premier lieu, ils se fondent sur le droit
sacré de chaque homme d’adorer Dieu, de pratiquer sa religion, de se
soumettre à ses commandements. Les Français s’émeuvent-ils de la généralisation
de pratiques qui leur sont totalement étrangères ? Ces beaux parleurs
font appel à la tolérance, preuve que l’islam n’est plus intolérant.
Et ils ajoutent à cela l’appel à la charité et à la compassion. Les
émigrés, disen,t-ils, sont souvent malheureux. On les a trop souvent
« ghettoïsés ». Ils sont des exclus de notre société.
Oserions-nous aggraver ces malheurs en leur retirant le secours de leur
religion, en leur en restreignant la pratique ou les comportements qu’elle
exige (prétendument)
Et
puis, ils jouent même la morale. Tel recteur d’une mosquée prestigieuse
nous rappelle que l’islam défend la pudeur, condamne les relations sexuelles
hors mariage ou entre individus du même sexe, sanctionne le vol ou le
crime, exige le respect de l’autorité. Comment un tel discours ne séduirait-il
pas une multitude de Français, effrayés par l’effondrement moral total
qui affecte toute la société française, spécialement depuis les évènements
de mai 68 et le triomphe de l’idéologie libertaire qui les sous-tendait ?
Un cas est
significatif de la pratique magistrale que ces activistes tirent de
leur connaissance parfaites des ressorts profonds de notre psychologie.
Ainsi,, lorsque la loi qu’a rendu nécessaire le développement du port
du voile à l’école en France, était en préparation, on parlait dans
les pays musulmans de loi sacrilège. Mais en France, les meneurs
parlaient de « loi raciste ». Sacrilège, en
rappelant trop le langage du catholicisme de naguère, aurait pu choquer
une partie de la population française : ne serait-on pas en présence
d’un regain de l’obscurantisme et du pouvoir de nouveaux curés ? Raciste, au contraire, met tous les torts
dans notre camp, et des torts inadmissibles quand on pense à la connotation
qu’on a développée sur ce terme. Ah, en vérité, ces beaux parleurs nous
connaissent bien !
Demain l’instrumentalisation
de la violence
Quand l’activiste
évoqué ci-dessus reste en principe pacifique et habité de bonnes intentions
(religieuse) il peut être considéré naïvement comme peu inquiétant par
beaucoup de Français. Mais, en fait, ce n’est là qu’un volet d’une stratégie
double qui bénéficiera d’autres concours, plus militants, plus combattants.
En fait,, dans cette perspective, l’activisme de l’islam profitera d’une
situation qu’il n’a pas créée.
Celle –ci tient à deux faits tristement complémentaires. Il y a d’une
part l’importance démesurée du flux allogène et de sa fécondité. Pendant
des siècles, la France a eu des capacités d’intégration et d’assimilation
remarquables. Mais trop à la fois, c’est trop. En outre, ces capacités
prenaient leurs sources dans l’amour que les Français portaient à leur
patrie, dans l’attachement qu’ils avaient
à l’égard de leur patrimoine, dans les vertus qu’ils prêtaient à l’école
et à l’acquisition des connaissances, dans le respect de la morale –
au moins en apparence -, dans la pratique d’une solidarité fraternelle.
Mais tout cela a vécu. Une multitude de jeunes, en particulier parmi
ceux « issus de l’immigration », rejettent l’école et ils
y échouent. Le lycée professionnel risque de se transformer en poubelle
et, dans certains d’entre eux, ces jeunes représenteraient 100% des
effectifs. Cette « individualisation » d’une communauté se
trouve ainsi réalisée de facto ; mais malheureusement par l’échec,
le désespoir et la révolte. Comment rêver d’un meilleur corps de combat
en gestation pour demain ?
Bien entendu,
ces jeunes ne sont pas tous musulmans, même quand leurs parents
le sont, ni islamistes. Beaucoup sont plus attirés par tous les
attraits de la modernité et du consumérisme que par la prière,
le jeûne ou l’aumône. Mais la haine qu’ils nourrissent à l’égard
de notre société les rend disponibles pour être embrasés demain
par une force qui décidera de se servir d’eux, de leur vacuité spirituelle,
de leur jeunesse, de leur désespoir, de leur agressivité.
En outre,
dès maintenant, la présence de bandes qui se livrent à une véritable
guérilla sur notre territoire, contribue à développer chez de nombreux
français la peur, qui vient ajouter ses effets paralysants à l’aboulie
et à la résignation qui affectent tant d’entre eux.
L’objectif :
une nation dans la nation.
La constitution
d’une armée au sein d’une nation non musulmane est l’objectif des islamistes
pour assurer le passage de la France du dar-el-harb au
dar-el-islam. Or cette possibilité de constitution d’une
armée passe par l’existence de citoyens parmi lesquels on puisse recruter
des éléments militants. Le passage obligé de l’entreprise conquérante
est donc d’extraire de la population française des personnes qui, au
delà de la simple pratique d’une religion nouvelle chez nous et étrangère
à notre tradition et à notre identité, auront été persuadées de leur
individualité profonde et de leur différence radicale et définitive
avec le reste de la population . Un des moyens d’exprimer, de claironner
cette individualité, cette différence, c’est l’adoption et le port d’un
uniforme.
Or le voile
est un uniforme même quand il n’est pas la sinistre burka, même
quand il n’est que le linge innocent qui drape une gamine charmante.
La conscience de faire partie d’une individualité spécifique et l’existence
de ces différences radicales sont les objectifs des menées islamistes.
Leurs exigences hautement et fortement réclamées de mesures dérogatoires
à l’égard des lois de l’Etat se multiplient, et se multiplieront pour
cette raison tactique. Et les arguments prétendument religieux, tels
le souci de la pudeur, ne sont que
des prétextes d’une efficacité ravageuse.
Quand un
nombre croissant de personne vivant en France échappent aux lois
- y compris pénales – imposées jusqu’alors à tous, telles que
la sanction de la polygamie, quand on multiplie tous les jours les occasions
nouvelles de se soustraire à ces lois, je prétends qu’on ne fait pas
du communautarisme ; on laisse se créer une nation dans la nation,
un Etat dans l’Etat et, pour demain, un corps de bataille logé dans une société française qui n’est plus
qu’un troupeau désuni et démoralisé.
Une nation
musulmane émergente de la nation française, forte d’une armée dont les
guerriers seront les guérilleros d’aujourd’hui.
Telles sont
les perspectives inéluctables que dessinent la situation actuelle et
sa désagrégation constante ».
Après
cette lecture, vous dites, je l’espère,
que la ligue Saint Athanase est
une urgente nécessité.
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