Paroisse Saint Michel

 

Le 22 août 2004.

 

De la charité fraternelle.

 

 

 

Bien chers fidèles,

 

 

Je vous ai laissé au 5ème dimanche après la Pentecôte, au 4 juillet 2004. On m’a conseillé, en effet, de ne pas vous envoyer les textes habituels de votre « Paroisse  Saint Michel » pour raison des vacances d’été. Je me suis laissé convaincre d’autant plus facilement que, au  mois de juillet, j’ai moi-même fait ma retraite annuelle et  prêché, avec le RP Marziac, à Causade, sa belle  propriété, deux  retraites  de Saint Ignace.

 

La rentrée « scolaire » approche. Tout le monde reprend le travail. L’Eglise se remet aussi à prêcher « son message de charité ». A vrai dire, elle ne cesse jamais d’ annoncer la Bonne Nouvelle. Il me semble opportun de reprendre contact avec vous et avec les 614 paroissiens de Saint Michel.  Vous êtes un de ceux-ci. Bravo !

 

Les nouveaux sont les bien venus. Nous leur souhaitons bon accueil.

 

Quel sera notre programme cette année ?

 

- Si Dieu veut, je poursuivrais la publication d’ homélies  hebdomadaires. 

 

- J’essayerai de vous tenir informés de « la marche du monde ». A ce sujet, je ne peux que vous encourager à suivre  la chronique  « Un regard sur le monde ». Là, je suis au plus près l’évolution des «  idées et des événements » tant religieux que politiques.

 

- Je publierai et analyserai, chaque semaine, un chapitre du beau et très utile livre du RP Alphonse Rodriguez (SJ) : « Pratique de la Perfection Chrétienne ». J’ai appris à connaître cette œuvre seulement ces semaines, chez le Père Marziac. J’ ai honte de ce retard. Mais mieux vaut tard que jamais. Ce livre est un trésor. Il  nous aidera à cheminer toutes les semaines vers  cette « perfection chrétienne » et à gagner ainsi peu à peu notre « ciel ».

 

- Et nous ajouterons, si nous le pouvons, la lecture et l’analyse du merveilleux commentaire de Saint Augustin sur  l’Evangile de Saint Jean. C’est aussi un chef d’œuvre qui réjouit mon intelligence.

 

Voilà ! Nous avons du pain sur la planche.

 

Mais avant de reprendre « notre course » habituelle, je voudrais cette semaine vous adresser seulement un  très beau petit chapitre du Rodriguez sur la « Charité Fraternelle ».  C’est son premier chapitre de la quatrième  partie de son premier livre : « De l’union et de la charité fraternelle ». C’est l’esprit qui doit régner chez nous, qui doit animer la «  ligue Saint Athanase ». Je vous en rappelle les obligations : le chapelet quotidien, la récitation, chaque dimanche en famille, du Symbole de Saint Athanase. Pour les nouveaux, voyez  ce qu’est la « Ligue Saint Athanase ». Vous trouverez tout en cliquant sur « Paroisse Saint Michel, 5ème dimanche après la Pentecôte ».  De cette ligue, la charité fraternelle en doit être  le « formel ». Nous répondrons ainsi aux critiques bien trop justes qui, souvent,  nous sont faites : les « traditionalistes » manquent de charité et de bénignité dans leur relations sociales.

 

Voilà ce beau chapitre.

 

Chapitre Premier

 

Du mérite et de l’excellence de l’union et de la charité fraternelle.

 

« Voyez, dit le prophète royal, comme il est doux et bon pour des frères d’habiter ensemble » (Ps 132,1)…

 Union des cœurs, faveur de Dieu et fait historique dans la « Compagnie de Jésus » du temps de Saint Ignace. (les sous-titres sont de moi)

 

Quoi de plus agréable, s’écrie Saint Basile, quoi de plus beau, de plus heureux, de plus admirable, de plus merveilleux, que de voir « des hommes sortis de diverses nations, de différentes contrées, tellement assimilés les uns aux autres par une exacte conformité de mœurs et de discipline, qu’il semble qu’un même esprit anime plusieurs corps et, réciproquement, que plusieurs corps soient instruments d’une seule âme » (Bas .,c.19. Const Monac.) C’est cette union si intime, cette assimilation si complète, si cimentée entre des hommes de toutes les nations, quoique différents entre eux par la naissance, l’éducation, les goûts, l’esprit et l’humeur, que l’historien de Saint Ignace signale comme une merveille et que nous pouvons regardez encore aujourd’hui, dans notre compagnie, comme un miracle de Dieu. Les différences qui existent entre nous ont leur source dans la nature ; mais la grâce, la vertu et les dons surnaturels les effacent complètement, et, nous rendant tous semblables les uns aux autres, font de nous comme un seul homme…

 

Cette concorde est source de grâces et principe de rayonnement missionnaire.

 

Cette faveur de Dieu est si grande, si excellente, qu’indépendamment des bienfaits que nous en retirons pour nous mêmes, sa bonne odeur, en se répandant  parmi les gens du monde, sert à la fois à leur édification et à la plus grande gloire de Dieu. C’est un fait certain qu’un grand nombre de membres de notre compagnie, interrogés sur le motif de leur vocation, répondent que c’est l’union et la fraternité qu’ils ont vues régner parmi nous. Cet aveu s’accorde parfaitement avec les réflexions que le passage placé en tête de ce chapitre inspire à Saint Augustin : «  Ces paroles, ce son si doux, cette mélodie, ont enfanté des monastères ». C’est aux accents d’une voix si enchanteresse que les hommes, sortant de leur sommeil, ont abandonné leurs familles et leurs richesses et se sont réunis dans les asiles de la vie religieuse ; c’est là la trompette qui les a convoqués et rassemblés des diverses partie du monde, parce qu’ils ont compris que cet amour mutuel, cette tendre union des âmes étaient une image de la vie du ciel ; c’est là l’aimant divin qui a attiré tant de cœurs dans les retraites de la pénitence, et c’est avec raison que le Sage, parmi les trois choses qu’il dit être également agréables au Seigneur, met au premier rang la concorde qui règne entre les frères : « Quae sunt  probata coram Deo et hominibus, concordia fratrum » (Eccl., 15,1)

Le commandement divin : principe et fondement  de l’union des cœurs.

Le précepte de la charité renferme deux commandements : le premier, et le plus important, nous dit : « d’aimer Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme et de toutes nos forces ; » le second, qui est semblable au premier ; « d’aimer notre prochain comme nous-mêmes. » (Mt 22 37-39) C’est ce dernier commandement qui sera l’objet des chapitres qui vont suivre, parce qu’il est le principe et le fondement de l’union et de la fraternité dont nous proposons d’enseigner ici les douces et saintes lois. Cette union des esprits, cette fraternité des  cœurs, sont les fruits de la charité, qui a la vertu, dit Saint Denis (L ;4 de Divin.nomin.), de lier entre elles les choses les plus dissemblables, et que Saint Paul appelle « le lien de la perfection », « Vinculum perfectionis » (Col 3 14) ; lien tout puissant, qui unit et associe les éléments les plus contraires, qui fond plusieurs volontés en une seule ; qui fait que ce que  je désire pour moi, je le désire aussi pour les autres ; qui fait que mon ami est un autre moi-même, et que nous ne formons tous deux qu’une même personne. Un poète de l’antiquité appelait son ami « la moitié de son âme » ; une âme partagé entre deux corps. Cette définition, dit Saint Augustin, est encore plus vraie, appliquée à l’affection qui unit deux âmes chrétiennes.

 

L’amour du prochain : ses motifs.

 

1 – C’est un « ordre divin »

 

Pour bien comprendre tout le prix, toutes l’excellence de la charité, et combien l’amour du prochain est agréable au cœur de Dieu, rappelons ici les propres paroles de Jésus-Christ, que nous avons citées plus haut. Saint Chrysostome(Hom 25 sup ep.ad Rom) fait cette remarque qu’après avoir énoncé le grand précepte de l’amour de Dieu, le Sauveur ajoute aussitôt que le second commandement, celui de l’amour du prochain, est semblable au premier. Admirez, dit-il, la bonté et la miséricorde du Seigneur, qui, malgré la distance infinie qui sépare l’homme de son Créateur, a voulu cependant que nous aimions nos frères autant que lui-même. Si notre Père céleste nous l’ordonne de l’aimer de tout notre cœur et de toute notre âme, il nous ordonne aussi d’aimer notre prochain comme nous-même ; et il met ainsi sur la même ligne l’amour que nous devons à Dieu et celui que nous devons à nos semblables. Quand nous voulons du bien à un homme, et que nous le recommandons à nos amis, nous disons ordinairement à ceux-ci :en aimant cette personne, vous m’aimerez moi-même. Donc conclut Saint Chrysostome, en disant que le second commandement était semblable au premier, Jésus-Christ a voulu nous faire entendre qu’en aimant le prochain nous aimerons Dieu. Tel était aussi le sens de ces paroles, qu’il adressait à Saint Pierre : « Si vous m’aimez, paissez mes brebis », « Si diligis me, pasce oves meas ». (Jn 21 17). C’est comme s’il lui avait dit : si vous m’aimez, ayez soins des miens ; je reconnaîtrai par là si vous m’aimez véritablement.

 

2 – l’amour du prochain, un amour pour Dieu et à cause de Dieu et donc une vertu « théologale ».

 

Mais il y a plus : le Seigneur veut que nous aimions le prochain du même amour dont il nous a aimés lui-même : « Mandatum novum do vobis, ut diligatis invicem, sicut dilexi vos » (Jn 13 34). Jésus-Christ nous a aimé uniquement pour Dieu, et à cause de Dieu ; il veut que  nous aimions le prochain à cause de Dieu, pour Dieu. Voilà pourquoi, dit Saint Augustin (Tract., 65 sup. Joan), il appelle ce précepte un commandement nouveau ; il était nouveau, non seulement parce que le Sauveur le faisait connaître au monde pour la première fois, et l’enseignait le premier par sa parole et par son exemple, mais encore parce qu’en réalité c’était un amour nouveau. L’amour naturel, fondé sur la chair et le sang, sur des motifs humains et sur des intérêts particuliers, est un amour aussi ancien que le monde, un amour connu à la fois des bons et des  mauvais, des hommes et des animaux : « Omne animal diligit simile sibi » (Eccl., 13 19). Mais l’amour que nous devons avoir pour nos frères ne ressemble pas à cet amour. C’est un amour spirituel et surnaturel, qui nous fait aimer le prochain à cause de Dieu et avec le même esprit de charité qui nous anime à l’égard de Dieu. Aussi les théologiens enseignent-ils avec les saints Pères, que la vertu de Charité qui nous fait aimer Dieu pour lui-même et celle qui nous fait aimer le prochain pour Dieu, sont une seule et même chose ; ils disent que celle-ci, comme la première, est théologale, c’est-à-dire divine, ayant Dieu pour objet, en ce que nous aimons le prochain pour l’amour de Dieu ; en d’autres termes, que la bonté infinie de Dieu est digne d’être aimés pour elle-même, et que pour elle, nous aimons aussi le prochain.

 

3 - L’amour du prochain, chaudement  exalté et recommandé par Notre Seigneur.

 

Cette union, cette charité fraternelle, nous la trouvons exaltée et recommandée à chaque page de la sainte Ecriture avec une insistance toute particulière, et Notre Seigneur Jésus-Christ, au moment de quitter la vie, dans son dernier sermon de la Cène, nous exhorte par deux fois à la pratiquer : « Le précepte que je vous donne, dit-il, c’est de vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés moi-même ». Puis il ajoute aussitôt après : « Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres. Je vous le commande comme par testament : telle est ma dernière volonté »(Jn 15 12).

 

4 – la charité fraternel, accomplissement de la loi

 

Il nous parle ainsi pour que nous comprenions combien il désire que ce précepte reste gravé et enraciné dans nos cœurs, et parce qu’il sait combien nous sommes intéressés à le pratiquer fidèlement, puisque de son observation dépend l’accomplissement de tous les autres commandements, selon cette parole de l’Apôtre : « Qui diligit proximum legem implevit » (Rm 13 8) .

 

5 – La charité fraternelle, tellement recommandée par Saint Jean.

 

Le disciple bien aimé, qui avait puisé cette doctrine dans le sein même de son divin Maître, la prêche sans cesse dans ses épîtres canoniques. Saint Jérôme rapporte que, étant parvenu à une extrême vieillesse, ses infirmités ne lui permettant plus d’aller à l’église, le doux Apôtre s’y faisait porter sur les bras de ses disciples, et y répétait toujours ces seules paroles : « Mes petits enfants, aimez-vous les uns les autres. » Fatiguez d’entendre continuellement la même chose, ceux-ci lui dire un jour : « Maître, pourquoi nous dites-vous toujours cela ? «  La réponse qu’il leur fit, dit Saint Jérôme, était vraiment digne de Saint Jean : « Je dis cela parce que c’est le précepte du Seigneur, et qu’à lui seul il suffit, pourvu qu’on l’observe » « Filioli, diligite alterutrum. Dignam Joannis sententiam, quia praeceptum Domini est, et si solum fecit, sufficit ». (Hier.in comm. Ad Gal. 6) “car toute la loi est renfermée dans ce précepte : Vous aimerez votre prochain comme vous-mêmes » (Gal 5 14) Accomplissez ce commandement, et vous aurez satisfait pleinement à tous les autres.

 

 

 

 

 

6 La charité Fraternelle, signe du vrai disciple.

 

Le Seigneur, dit Saint Augustin, a voulu donner à ce précepte une si grande importance, qu’il va jusqu’à faire de sa fidèle observation le signe caractéristique des vrais chrétiens : « En cela on connaîtra que vous êtes mes disciples » (Aug. Lib. 83, quest. 9,17)

 

7 – La charité fraternelle, vraie preuve de la vérité de notre foi et de la divinité de NSJC

 

Mais le Fils de Dieu va plus loin encore, et, dans la prière qu’il adresse à son Père après la Cène, il demande non-seulement que la charité soit ici-bas comme le signalement de ses disciples, mais qu’il règne parmi nous tant d’union et de fraternité, qu’à ce signe le monde reconnaisse la vérité de notre foi et la divinité de Jésus-Christ ; « Je ne prie pas pour eux seulement, mais encore pour ceux qui doivent croire en moi par leur parole, afin que tous ils soient un en nous, comme vous, mon Père, en moi, et moi en vous, nous sommes un, et que le monde croie que c’est vous qui m’avez envoyé. » (Jn 17 20-21) Pouvait-on, dit Saint Jérôme, exalter davantage l’excellence de la charité ? Cette vertu surhumaine doit suffire à convaincre les hommes qu’elle n’a pu naître que dans le cœur du Fils de Dieu, et à imposer à leur croyance la doctrine du Christ et la foi de son Eglise.

 

8 -  L’exemple de Saint Pacome.

 

L’histoire de Saint Pacôme est une preuve éclatante de ce pouvoir irrésistible de la charité chrétienne. L’armée de Constantin le Grand, dénué de tout et mourant de faim, arriva dans une ville dont les habitants lui firent un excellent accueil et lui apportèrent tous les secours dont elle avait besoin avec tant d’empressement et en si grande abondance ; que Pacôme, un des soldats de cette armée, étonné de tant de générosité, demanda quelle était cette race d’hommes si prompte à faire le bien. On lui répondit que c’étaient des chrétiens, qui avaient pour religion d’accueillir et de secourir tout le monde autant qu’ils pouvaient le faire. Pacôme se sentit aussitôt poussé à embrasser une doctrine aussi belle, et, élevant ses mains vers le ciel, il prit Dieu à témoin et fit profession de christianisme. Un acte de charité fut le motif de sa conversion et le convainquit de la vérité de la doctrine qui l’avait inspiré.

 

9 – La charité fraternelle, signe de bénédiction de Dieu et de sa présence

 

Et quel motif de consolation dans le motif que le divin Sauveur donne à sa prière ! « Que tous ils soient un en nous, dit-il, pour que le monde sache que c’est vous qui m’avez envoyé, et que vous avez aimé les hommes comme vous m’avez aimé moi-même ». Un des signes les plus certains auxquels on peut reconnaître que Dieu aime une société religieuse de cet amour privilégié qu’il a pour son Fils, c’est quand il lui accorde la grâce de l’union et de la fraternité, comme nous voyons qu’il l’avait accordée, dans la primitive Eglise, à cette famille de chrétiens qui avaient reçu les prémices du Saint-Esprit. « Si nous nous aimons les uns les autres, dit l’apôtre Saint Jean, Dieu demeure en nous (1 Jn 4 12). Si, comme le Seigneur l’a dit lui-même, lorsque deux ou trois sont assemblés en son nom, il est au milieu d’eux »(Mat 18 20), que sera-ce quand un si grand nombre d’hommes sont unis et assemblés en son nom et pour son amour ? Afin donc de jouir d’un si grand bien et de posséder le Seigneur au milieu de nous, nous aimant d’un amour de prédilection, efforçons-nous de nous conserver toujours dans cette charité et dans cette union.

 

Juste quelques nouvelles.

 

Fréquentez régulièrement Item : « Un regard sur le monde ». Dans celui du dimanche 22 août 2004, vous trouverez une étude importante sur l’œcuménisme. Trois chapitres :  la pensée de Mgr Lefebvre sur ce sujet important ; une critique sur l’encyclique « Ecclesia de Eucharistia ; une  précision sur ce qui  fait « problème » dans l’exposé théologique sur l’œcuménisme de Vatican II, sous la plume de Monsieur l’abbé Barthe.

 

 

Dans la rubrique : « Doctrine politique » du site Item, http://item.snoozland.com vous trouverez cette semaine le très belle exposé de Monsieur de Lassus de l’AFS sur le « laïcisme ». C’est un texte très clair, important dans cette période de subversion doctrinale.

 

Je vous encourage à faire les retraites de Saint Ignace à Causade ou au Pointet.

 Voici les dates des retraites à Caussade pour les quatre derniers mois de l’année

 

 

A – retraites pour hommes.

 

mois

 Date des retraites

Lieu des retraites

Septembre

- du lundi 6 septembre 12 h au samedi 11 septembre 13 h

A la Maison Saint Joseph

82300 Caussade Tel 05 63 93 00 88 Fax O5 63 93 94 03

Octobre

- du vendredi 1 octobre 18 h au mercredi 6 octobre 21 h

 A Caussade.

 

- du vendredi 8 octobre 18 h au mercredi 13 octobre 21 h

En Bretagne au Monastère Saint Frannçois d’Assise Lanorgard 29380 Le Trevoux. S’insrire la bas O2 98 71 88 79

 

- du jeudi 28 octobre 18 h au mardi 2 novembre 21 h

A Caussade.

Décembre

- du vendredi 3 décembre 18h au mercredi 8 décembre 21 h

 

- du  vendredi 10 Décembre 18 h au mercredi 15 décembre  21 h

 

- du Dimanche 26 décembre 12 h au vendredi 31 décembre 13 h (Congés de Noël)

La messe dominicale du 26 décembre est assurée à 17h45

 

A Caussade

 

 

A Caussade

 

 

 

A Caussade

 

 

 

 

 

 

B –Retraite pour Dames et Jeunes filles

 

 

Mois

Dates des retraites

 Lieu des retraites

Octobre

 

 

 

 

 

 

 

Novembre

du vendredi 15 octobre 18 h au mercredi 20 octobre 18 h

 

 

 

 

 

 

du  vendredi 12 novembre 18 h au mezrcredi 17 novembre 18 h

En Bretagne au Monastère Saint François d’Assise Lanargard 29380 Le trévoux S’inscrire au 02 98 71 88 79

 

 

 

 

A Caussade

Inscription 05 63 93 00 88