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Un regard sur l’actualité politique et religieuse

au 5 septembre  2004

N°7

par Monsieur l’abbé Paul Aulagnier

 

 

« Une guerre fratricide » entre Mgr Fellay et Mr l’abbé Philippe Laguérie

 

Arrêtez ce combat « fratricide » ! D’autant qu’il ne repose  sur  aucune valeur doctrinale fondamentale. Disons qu’il met seulement en cause l’exercice de l’autorité. L’autorité est principe d’ordre. C’est ce qu’enseigne la doctrine. C’est dire que l’ordre relève, de toute façon,  de l’autorité et de son exercice et  pas d’abord des subalternes.  Si le désordre règne, l’autorité  en est  responsable et doit intervenir et mettre de l’ordre.  Mais cette autorité, pour instaurer l’ordre,  peut  créer le « désert » - ce qui serait terrible ! -  ou une « vie fraternelle » aimée, désirée, recherchée par tous les membres de cet « institut sacerdotal ». Ce qui serait hautement souhaitable !

 

Dans cette « guerre fratricide », il est sur que Mgr Fellay gagnera. Il remportera la « victoire ». A moins que…Mais, s’il crée le désert autour de lui,  sa victoire sera une victoire à la Pyrrhus.  Vous connaissez sans doute la réponse de Pyrrhus, roi d’Epire à ses généraux, après avoir gagné à Asculum, en Italie, contre les romains: « Encore une victoire comme celle-là et je suis perdu », mots qu’on rappelle pour caractériser un succès trop chèrement acquis. Vous imaginez ! Perdre un abbé Laguérie Philippe, un abbé de Thanouarn , un abbé  Héry… et puis qui encore… Non il faut que Mgr Fellay entende l’appel à la clémence que je lui ai adressé tout au début des événements :

 

Permettez-moi, Monseigneur, de faire appel à votre clémence dans la sanction que vous venez de prendre à l'encontre de Monsieur l'abbé Philippe Laguerie.
Ce qui me porte à le faire, c'est l'amour que je garde de  la FSSPX et de sa pérennité

 

Je crains que cette décision empêche de garder dans  la tradition la belle église Saint Eloy ou du moins cela devrait rendre l'opération plus difficile... Ce qui serait bien regrettable. Certains pourraient, un jour, vous  tenir pour  responsable de sa perte. Ce qui serait peut-être juste, mais toutefois bien regrettable aussi.

 

Cette nouvelle sanction risque encore de blesser profondément un prêtre qui a bien mérité de la FSSPX, par son zèle, son savoir faire, sa joie communicative. De tels prêtres sont bien nécessaires pour maintenir le goût de l'action missionnaire,  essentielle à notre oeuvre sacerdotale.

 

Cette sanction risque également de contrarier plusieurs de ses amis prêtres et même de ses nombreux fidèles et sur Bordeaux et sur Paris.

 

Tout cela risque d'engendrer un mauvais esprit et une nouvelle division dans les rangs des prêtres et des fidèles. Ce qui n'est vraiment pas souhaitable.

 

Notre société sacerdotale porte également le beau nom de "Fraternité". Cet acte très dur que vous prenez ne facilitera pas l'installation de cet esprit fraternel dans nos rangs. Ce qui  contrarie sous un certain aspect le bien commun.

 

Vous risquez également de susciter dans le cœur de vos prêtres l'amertume, qui est gravement préjudiciable, à la joie de vivre. De cette joie de vivre, vos prêtres en ont grandement besoin en ces temps difficiles.

 

Vous venez de prendre quelques décisions heureuses en l'endroit du séminaire...Il y avait un réel problème...Vous le reconnaissez ainsi vous-même. Monsieur l'abbé Laguérie, comme bien d'autres prêtres, ont attiré votre attention. Cette préoccupation de votre  prêtre, conscient du problème du séminaire, était l'expression de son amour de notre institut sacerdotal. Pourquoi alors le sanctionner? Ainsi si vous maintenez votre décision, vous allez heurter son cœur de prêtre pour toujours...M'est avis que nous n'aurions pas besoin de cela.

 

Maintenir votre décision risque de révéler au grand jour les difficultés internes de notre société.

Nos ennemis, ils sont légions, n'attendent que cela.

 

Je termine la lecture du petit livre de Jean Madiran : "Maurras toujours là". J'y ai trouvé cette phrase de ce grand théoricien du "pouvoir" et de" l'autorité" : "Pour le succès d'un commandement, il faut que le besoin d'y obéir ait, de lui-même, fait la moitié du chemin". Ce qui, Monseigneur, est, en cette affaire,  loin d'être le cas... C'est donc votre propre autorité qui va en pâtir... Soyez-en bien certain...Alors qu'il serait si simple d'exercer, pour une fois, votre clémence. Tous vos prêtres vous en seraient reconnaissants.

 

Enfin si vous devez envoyer un autre prieur, vous l'envoyez, si vous me permettez l'expression, au "casse pipe". Il n'est pas sur qu'il  y réussisse. S'il échoue, ce que je vous prédis d'avance, car les prêtres de Bordeaux risquent fort de faire corps... il restera lui aussi amère...Vous risquez de perdre sur tous les tableaux. Ne mésestimez pas la popularité de votre prêtre qui saura l'exercer   pour son honneur.

 

Pour toutes ces raisons et peut-être d'autres qui vont se manifester rapidement, je me permets d'en appeler à votre clémence. C'est l'attitude des grands...Monseigneur.

 

A votre bon cœur et surtout à l'intelligence des choses...

Abbé Paul Aulagnier.



Jean Madiran : les « Trois devoirs » des catholiques dans  la crise de l’Eglise.

 

Tous, vous avez entendu parler  du dernier livre de Jean Madiran. : « Maurras toujours là », publié aux éditions « Consep ».

Nous avons eu l’occasion déjà d’en parler dans  notre rubrique « un regard…sur le monde… » : le numéro 5 du 15 août 2004.   Nous y annoncions la parution de ce  livre et nous y donnions son jugement critique  sur les « Princes de l’Eglise » dans ce fameux chapitre III: « Les Princes d’église n’étalent plus comme jadis de cyniques débauches publiques, leur dévergondages est intellectuel, ils étalent plutôt leurs débauches idéologiques et celles-ci, moins visibles et donc moins directement scandaleuses pour le simple fidèle peu catéchisé, sont plus profondément destructrices. » (p. 62)

 

Je veux revenir sur ce chapitre III… Je vous ai dit que c’est un petit livre court, mais riche en pensées et réflexions. Voyez.
Son chapitre III  est important. Il y définit les «  Trois devoirs » actuels des catholiques de Tradition.  Il l’a intitulé : « Réflexion à partir d’un inédit ».

 

L’inédit, en question, est celui d’un écrit de Maurras de quarante-deux pages, écrit en prison, la prison de Clervaux, en 1948 et publié pour la première fois par Yves Chiron sous le titre « Trois devoirs » (un volume de 70 pages à commander aux éditions BCM, 16 rue du Berry, 36250 Niherne, 11€ port compris).  Jean Madiran  résume la pensée de Maurras: « Les « Trois devoirs » sont ceux qui, selon Maurras, s’imposaient aux royalistes après la publication par le comte de Paris de son livre « Entre Français » et de sa circulaire du 5 mai 1948 ». Constatant « l’incontestable nouveauté » de la pensée du Comte, Maurras analysait l’attitude que devaient  avoir les royalistes. Il la résumait en « Trois devoirs » :

- celui de constater la nouveauté doctrinale,

- de respecter l’autorité légitime du Prétendant novateur,  

- de continuer à militer pour la doctrine royaliste traditionnelle.

 

Jean Madiran, en effet,  écrit :« Les « Trois devoirs » que Maurras assignait aux royalistes comportaient le constat de la nouveauté doctrinale, le respect de l’autorité légitime du Prétendant novateur et le maintien militant de la doctrine royaliste traditionnelle » (p. 61).

 

Mutatis mutandis, ces « Trois devoirs » sont  ceux que doivent respecter les catholiques de la tradition, dit Jean Madiran. Du politique  au religieux,  la situation, aujourd’hui,  est « analogue » : la nouveauté doctrinale est manifeste. Les devoirs sont alors  analogues.  . Même situation. Même devoirs. Analogiquement parlant. Jean Madiran écrit :« Les « trois devoirs » que Maurras assignait aux royalistes comportaient le constat de la nouveauté doctrinale, le respect de l’autorité légitime du Prétendant novateur, et le maintien militant de la doctrine royaliste traditionnelle. On peut en faire, mutatis mutandis, une transposition analogique aux catholiques qui, fidèles à ce que l’Eglise a toujours cru et toujours fait, réprouvent et rejettent les nouveautés que font (et peut-être croient) les épiscopats européens ; mais tout en se  gardant de porter atteinte à la succession apostolique qui, sous la principauté romaine de juridiction, est la structure d’institution divine de l’Eglise »(p. 61-62).

 

On comprend, alors pourquoi Jean Madiran puisse terminer son chapitre III par ces mots « On trouve toujours quelque chose à méditer, quelque chose à entreprendre, quelque chose à continuer, à partir d’une lecture de Maurras »(p. 63)

 

Voici l’article.

 

« Réflexion à partir d’un inédit.

 

Quarante-deux pages : une inédit de Maurras, écrit à la prison de Clairvaux au cours de l’année 1948, et publié pour la première fois par Yves Chiron : « Trois devoirs ». Les « Trois devoirs » sont ceux qui, selon Maurras, s’imposaient aux royalistes après la publication par le comte de Paris de son livre Entre Français et de sa circulaire du 5 mai 1948 : « Si l’on fait une somme des idées contenues dans ces documents qui nous arrivent presque ensemble, on a l’impression d’une incontestable nouveauté ».

 

Le compte de Paris s’y déclarait partisan d’un type de monarchie démocratique où le roi règne mais ne gouverne pas : « La monarchie équilibre, achève et sauvegarde la démocratie représentative. » Il faisait l’ »esquisse d’une Constitution monarchique et démocratique », prenant pour base la Constitution de la Ive République promulguée en 1946, qu’il entendait maintenir « en vigueur » et ne modifier que sur  quelques points. Yves Chiron observe dans sa « présentation » que c’était là une « transformation de la nature et de la fonction de la rayauté » ‘capétienne), et Maurras « dit pour aller plus vite » que ce sont des  « idées de gauche ». A cette époque ke comte de Paris y ajoute, c’est complet, qu’il est favorable à un « processus de fusion des nations », il estime inéluctable une « fédération universelle des Etats » passant par une « Europe fédérée » pour aboutir à une « communauté mondiale » (il fera une déclaration énergiquement contraire un an avant sa mort).

De telles positions plaçaient les royalistes maurrassiens dans une situation politique analague à la situation religieuse qui sera celle des catholiques de tradition , à partir des années soixante, devant le comportement des deux papes qui ont présidé au Concile Vatican II. (NDLR  Pourquoi Jean Madiran exclut-il celui qui eut l’obligation de l’appliquer : Jean-Paul II ?)

L’analogie consiste en ce que, dans les deux cas, l’autorité de référence, c’est-à-dire l’autorité politique du Comte de Paris pour les royalistes maurrassiens, l’autorité religieuse de l’Eglise hiérarchique pour les catholiques, se met à dire le contraire de ce qu’elle avait dit :

«  Pendant cent ans, écrit Maurras, les Princes n’ont arrêté de donner aux Français, en avertissements substantiels, la critique, parfois la censure des institutions, des lois, des idées et des hommes qui menaient le pays à sa perte. Cette perte ne s’est hélas ! que trop réalisée : du dehors au dedans en 1940, par le dehors et le dedans en 1944. La double expérience aussi éclatante que douloureuse constitue une vérification littérale des avis des prétendants. Il ne semblait y avoir dès lors qu’à prendre acte de ces accomplissements et à en  déduire un plan de reconstruction graduelle en sens inverse de la génération du désastre. (Au contraire) le Prince juge nécessaire de renverser la vapeur. La politique de « résistance » et d’opposition », propre à ses quatre prédécesseurs, a cessé d’être sa politique : il oriente son mouvement dans le sens même qui était naguère combattu. »

 

On peut reprendre ce propos politique de 1948 pour l’appliquer d’une manière textuelle au problème religieux depuis 1962 :

 

« Pendant cent ans, écrirons-nous, le Saint Siège n’a arrêté de donner aux nations chrétiennes, par les encycliques substantielles de Pie IX à Pie XII, la critique, parfois la censure des institutions, des lois, des idées qui menaient les nations chrétiennes à leur perte. Cette perte de ce qui restait de chrétienté ne s’est hélas ! que trop réalisée en Europe. L’expérience éclatante et douloureuse de la chute des vocations, de l’amenuisement des paroisses, de la déchristianisation de la société, a constitué une vérification littérale des avis donnés par les encycliques. Il ne semblait dès lors y avoir qu’à prendre acte de ces accomplissements et à en déduire un plan de renaissance graduelle en sens inverse du désastre spirituel généralisé. (Au contraire) le  Concile et le Saint-Siège ont jugé nécessaire de renverser la vapeur. La «pastorale de résistance » et d’ « opposition » des six pontifes précédents a cessé d’être la pastorale officielle : l’Eglise a orienté son « mouvement » dans les sens même qui était précédemment combattu ».

 

Puisqu’il en est ainsi, il importe d’abord de ne pas se le dissimuler, il faut que « cette nouveauté (soit) constatée ». La nouveauté politique est celle qui met en 1947-1948 les royalistes d’Action française en présence d’un Prétendant rallié aux principes que combattait la doctrine de ses prédécesseurs. Analogue à la nouveauté politique qui prend l’école maurrassienne à contre-pied, il y eut ensuite une nouveauté spécifiquement religieuse ( mais en même temps : politico-religieuse), « nouveauté bien constatée » également, c’est par l’abbé de Nantes qu’elle l’a été, et avec quelle vigueur, mais souvent quelle démesure verbale ; ce fut aussi par la revue Itinéraires ; et plus tard par Mgr Marcel Lefebvre : trois lignes de conduite souvent plus ou moins distinctes, mais chacune constatant une nouveauté officielle, cette nouveauté que le P. Congar appelait avec enthousiasme « la révolution d’octobre dans l’Eglise » (par référence à la révolution léniniste d’octobre 1917 !)

 

Nouveauté « bien constatée », vraiment, ou nouveauté niée ?

 

Les « concordistes », contestant l’existence d’un infléchissement doctrinal, se sont appliqués à montrer que dans le ralliement inattendu aux « droits de l’homme » et à la « liberté religieuse », il s’agit d’un renversement du vocabulaire et non pas d’un changement de doctrine. Les anciens catéchismes, pourtant, furent administrativement interdits ; pour les adultes il fallut attendre trente ans l’apparition du nouveau « Catéchismes catholique » et pour les enfants c’est toujours rien, une « catéchèse » informe, contraire évident d’une véritable instruction religieuse. Par dessus tout, comble du cataclysme révolutionnaire : l’improvisation obligatoire d’une messe nouvelle, que l’on devrait tenir à la fois pour strictement identique et pour hautement supérieure à l’ancienne.

 

Les « trois devoirs » que Maurras assignait aux royalistes comportaient le constat de la nouveauté doctrinale, le respect de l’autorité légitime du Prétendant novateur, et le maintien militant de la doctrine royaliste traditionnelle. On peut en faire, mutatis mutandis, une transposition analogique aux catholiques qui, fidèles à ce que l’Eglise a toujours cru et toujours fait, réprouvent et rejettent les nouveautés que font (et peut-être croient) les épiscopats européens ; mais tout en se  gardant de porter atteinte à la succession apostolique qui, sous la principauté romaine de juridiction, est la structure d’institution divine de l’Eglise ».(pp. 57-62)

 

Quelques suggestions !

 

C’est  bon ! 

 

Je rappelle ces « Trois Devoirs ». Ils  pourraient être comme les  trois principes d’une union nouvelle à re-créer entre tous ceux qui gardent la messe catholique, latine , grégorienne dite de Saint Pie V, signe évident de fidélité à  l’Eglise catholique. 

 

Ces Trois devoirs » sont : - constater les nouveautés doctrinales, les refuser.

- respecter cependant  l’autorité légitime.

- oeuvrer à l’extension du Royaume de Dieu, selon l’état d’un chacun.

 

Ce serait très heureux.

 

Ces « Trois Devoirs » valent pour tous.

 

Et je ne crois pas que les sacres faits par Mgr Lefebvre en 1988 aient porté atteinte au principe de  « la succession apostolique qui, sous la principauté romaine de juridiction, est la structure d’institution divine de l’Eglise. ».  Ces sacres ne furent pas accomplis par négation de ce principe certain, ni  par mépris du même principe. Il a  une autre raison : la très douloureuse crise de l’Eglise.  Il n’y eut ni schisme, c’est-à-dire, volonté exprimée de se séparer de Rome,  ni profession d’hérésie. Je pense même que l’attitude pratique de Rome, lors du sacre de Mgr Rifan, à Campos, en est la meilleure preuve. La présence de Mgr Rangel comme co-consécrateur de ce sacre m’a paru être  une réhabilitation « tacite » de l’acte de Mgr Lefebvre et de Mgr Castro Meyer.

Pour ceux-là, il devrait être entendu qu’ils fassent tous leurs efforts « pour, non point se rallier », ce qui contredirait le premier des  « Trois Devoirs » mais pour « normaliser leur situation canonique avec Rome ».

 

Et aux gens d’ « Ecclesia Dei », s’ils sont sensibles, à juste titre, au deuxième principe et s’ils nous « gourmandent » volontiers sur ce sujet, qu’ils fassent, eux, attention au premier des « Trois Devoirs ». Jean Madiran , lui, y insiste beaucoup. Qu’ils ne jouent pas aux « concordatistes ». Ils se perdraient aussi.

 

Et que tous, dans le respect des personnes, sans oublier  l’histoire de nos divisions pour agir plus prudemment, et avec plus de circonspection,  nous unissions nos forces,  ne serait-ce qu’en rétablissant la plus  nécessaire et élémentaire  courtoisie, pour œuvrer à l’évangélisation de notre Patrie : la France  qui a besoin plus que jamais de «témoins » de l’amour de NSJC.

 

Cela serait heureux. Un contact « discret » entre les « responsables » des différentes communautés, ne pourrait-il pas se tenir à « huis clos ». Sur ces Trois Devoirs comme principe d’unité.  Le Vatican y serait, j’en suis sur, très  « attentif ». C’est une proposition. Cette proposition deviendra bien un jour « nécessité ». Ne serait-ce pas l’heure ?

 

Abbé Paul Aulagnier