ITEM
42, Avenue
de
Port. 06 80 71 71 01 ; e-mail : abbe_aulagnier@hotmail.com. Site : http://item.snoozland.com
Un
regard sur le monde politique et
religieux
Au 8 mai 2005
N°41
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avec
Vous trouverez dans ce
numéro d’Item, « Regard sur le monde au 8
mai », n° 41, le
texte de l’entretien que
Fabien Vieillefosse, directeur de la revue « Le
Baptistère », a eu avec moi, voilà bien un mois, en
tout cas avant le décès de Jean-Paul II et
l’élection de Benoît XVI. Je crois même que cette
entretien eut lieu pendant
Vous n'êtes pas inconnu de nos
lecteurs et des catholiques attachés à
Je veux bien me
présenter. Je suis prêtre, prêtre catholique de l’Eglise catholique
romaine. Fidèle, je
l’espère, à sa Foi, à son Credo et à sa
Tradition, à sa Tradition liturgique ancestrale. Formé à Rome pendant de belles
années de ma vie, à l’Université Grégorienne
des Jésuites, au séminaire français, à Santa Ciara,
en pleine période conciliaire, j’ai gardé de Rome, un vif
amour. Un immense respect. Rome est pour moi le siège de Pierre. Et Pierre est
cet Apôtre sur lequel Notre
doux Sauveur a édifié
son Eglise. A ce titre , cette
église romaine est l’unique Eglise du Christ, l’Eglise
Catholique , Son Corps mystique. Elle est dès lors le siège de
Et si j’ai suivi Mgr
Lefebvre, rencontré à Rome dans les années 1964-1968,
c’est parce que j’ai apprécié son esprit romain. Son
amour de
En effet par mes origines
familiales - je suis d’Ambert,
la ville d’Henri Pourrat -
j’étais son « sujet » et même incardiné dans son diocèse depuis la
réception de la tonsure. Il me fallait donc, c’est le droit de
l’Eglise, son autorisation – ce qu’on appelle les
« démissoriales » – pour
être ordonné par un
autre évêque que lui. Ainsi, incardiné dans le diocèse de Clermont, - et non pas
Clermont-Ferrand, comme me le précisa, lors de ma première
visite, Mgr Hippolyte Simon, l’actuel évêque de ce
diocèse - je fus, toute ma
vie, membre de
Après quelques années au
séminaire d’Ecône, de 1973 à 1976, - j’en
étais même le sous-directeur
- ce qui me permit de bien comprendre l’esprit de notre fondateur,
je ne ratais pas une seule de ses conférences spirituelles qu’il
donnait très fréquemment, le soir, je fus nommé supérieur du
District de France. Avec mes confrères, tous, nous l’avons créé.
Avec générosité, avec fougue, nous nous sommes
lancés dans l’apostolat, dans l’apostolat paroissial, dans
la fondation des prieurés, des chapelles, puis des églises , dans la fondation des écoles,
de l’Université saint Pie X, dans la création de
revues, « Fideliter », « Marchons
droit », « Vu de haut »,
« Pactes », « Controverses »,
… , dans les éditions avec le merveilleux premier livre de
Monsieur l’abbé Bonneterre, dans la fondation de librairies, dans
la fondation de maisons de retraites spirituelles et même de retraites
pour personnes âgées. Tout nous passionnait, la
vérité surtout,
l’amour de notre Patrie aussi et lorsqu’il fut question de
commémorer la « Révolution
française », son bi-centenaire, nous avons senti
l’appel de nos martyrs et la légitime fierté d’en
rappeler
- Vous avez été
"écarté" de
Oui, j’ai
été « écarté » de
Je reconnais, il vrai,
avoir soutenu des positions qui
n’ont pas eu l’heur de plaire à
Je vous assure que je
n’ai pas laissé dormir en paix les quatre évêques des
diocèses de Normandie. Toutes les circonstances étaient pour moi
l’occasion de me rappeler à leur bon souvenir. Un enterrement
avait-il lieu avec demande, par testament, que les obsèques du
défunt, ait lieu dans sa paroisse, avec la messe tridentine…je
faisais tout pour que l’évêque respecte, à la lettre,
le testament de notre fidèle. Mgr Dubijon, l’évêque
de Sées, de l’époque, en a su quelque chose…
L’affaire fut portée même devant le tribunal…en
référé. Je ne
me faisais pas aimé des
autorités ecclésiastiques…Et pourtant, s’ils
savaient…Mgr Pican dut régler le difficile problème de
Et puis au Canada,
j’ai eu l’occasion de répondre à un interview du
journal « The Wonderer », alors que j’étais,
je crois, interdit
d’écriture…Cela englobait-il les interviews ? …Je
dis cela en souriant. La coupe était
pleine. Il me fut demandé de quitter
J’ai rencontré
le Cardinal Castrillon Hoyos, dans le cadre du dicastère du
Clergé. Il est aussi, vous le savez, président de
Et tout cela, je le
précise, puisque vous me le demandez, sans aucune concession.
Nous nous sommes
quittés dans la joie et l’amitié sacerdotale profonde.
Et me voilà chez le
Nonce, à Paris - Nous
étions le jeudi 26 février, vous dis-je -,
puis, sachant que le dossier avait été transmis chez Mgr
Hippolyte Simon, me voilà
à Clermont.
Vous êtes
maintenant incardiné dans le diocèse de Clermont-Ferrand. Quels ont été les
contacts que vous avez eus avec votre Evêque ?
Oui, vous dis-je, je suis
incardiné au diocèse de Clermont. Comme je le fus depuis
toujours.
« Comment cela
s’est-il passé » ?
Vous êtes
curieux ?
Je lui
téléphone. J’ai son secrétariat. Nous prenons date
d’un rendez-vous. Pour le mercredi 3 mars 2004, à 14h30. Quelques
jours plus tôt, la secrétaire de l’archevêque me
rappelle : « Mgr Simon vous invite à sa table, pour le
repas de midi ».
« Très bien ! Vous l’en remerciez. Dites
lui que j’y suis sensible ».
Le jour dit, me voici
à l’archevêché. Je suis conduit dans le parloir.
L’archevêque ne tarde pas. Nous nous mettons à table. Nous
sommes face à face. Il me met gentiment à l’aise. Le repas
fut bon. Nous parlons de choses et d’autres. Il ne voulut pas aborder le
sujet à table. Ce fut cependant un
peu difficile. Je remarque un beau tableau dans la salle à
manger. Il représente sa mère faisant du crochet…
« C’est la seule chose, me dit-il, que j’ai amené de
Normandie ». Il est d’Avranches de parents paysans. Je lui en
fais compliments…Le café pris, nous nous trouvons sans retard dans
son bureau.
La conversation est franche et directe. Ce n’est
pas la moindre qualité de l’évêque…
Il avait
réfléchi à sa réponse…avant même notre
entretien. Il acceptait mon incardination, mais, pour des raisons propres au
diocèse et en raison de ma « mauvaise réputation dans
le diocèse »
- il me rappela et me donna
copie de la lettre que Mgr de
Toutefois, je gardais - et
garde - bons contacts avec le
« Père » Simon… Il me donna
lui-même ce qu’on
appelle le « celebret », un soir, lors d’une
conférence que donnait Mgr Jordan,
l’évêque de Reims, le 15 mars 2004. Le
« celebret »… c’est important pour un
prêtre. C’est un peu la « carte
d’identité » du prêtre. Il lui permet d’authentifier son
sacerdoce ; il est la preuve
de la juridiction du prêtre, dans son diocèse ; il peut
célébrer la sainte messe, entendre les confessions selon les
normes du droit et c’est l’assurance qu’il n’est
frappé d’aucune peine canonique. Vous voyez, ce n’est pas
rien. J’ai au moins obtenu cela…Il vient de me le renouveler. Et
écrivit même,
« sans condition ». Il me précisa un peu plus tard
que je pouvais célébrer la messe saint Pie V, dans le
diocèse, dans la
paroisse d’Ambert, mon
origine, pour un groupe familial
ainsi qu’au monastère de Randol, monastère
bénédictin, tout près de Clermont Ferrand.
Comme je tardais un
peu à écrire le texte de ma
« déclaration » dont je vous ai parlé plus
haut et que Rome me demandait,
Mgr Simon m’y poussa gentiment. Me la rappelant plusieurs fois au
cours de nos rencontres et par courrier. Je la lui adressais au cours des
grandes vacances 2004. Il me fit connaître par lettre, le 6 septembre 2004, la
réponse favorable du
cardinal : « Le cardinal Castrillon Hoyos me fait parvenir un fax qu’il me demande
de porter à votre connaissance. Je le ferai volontiers, si vous voulez
bien venir à l’évêché, à un moment que
vous voudrez bien fixer avec mon secrétariat. Il me dit avoir accueilli
favorablement l’envoi de votre déclaration ».
J’étais aux anges.
Voici ce que Mgr Simon
appelle « ma déclaration ».
Vous jugerez vous
même si j’ai fait quelques concessions !
Abbé
Paul Aulagnier
42
avenue de
03200
Vichy
Eminence,
Puisque vous voulez bien donner un cadre juridique à
mon ministère et sachant les incompréhensions accumulées
de part et d’autre entre les catholiques « traditionnels »
et les catholiques « conciliaires », il me semble
nécessaire :
1°/ Que je vous
précise que vous recevez avec moi un de ces prêtres dont la force
ou la faiblesse, selon les points de vue, est d’avoir réagi aux
secousses de l’Eglise en se voulant
fidèle à
De sorte que je vous demande
de ne pas douter que je reconnais, si j’ose dire plus que quiconque, la
charge que le Pape Jean-Paul II a reçue, par mandat du Souverain Pasteur, de
paître toutes les brebis et tous les pasteurs. Et que je lui dois, dès
lors, respect et l’assurance
de mes prières.
Lorsque je discute d’un certain nombre d’options
théologiques, fussent-elles prises par le Concile Œcuménique
Vatican II, c’est avec et je dirais en raison d’ un
sur-respect, si vous m’accordez l’expression, de
l’autorité légitimement engagée.
Quant à la
défense de la messe dite de Saint Pie V à laquelle je me suis
consacré et que je célèbre uniquement selon le droit, elle ne m’empêche nullement
de reconnaître la validité du Novus Ordo Missae
promulgué par le Pape Paul VI . Et pour dire
précisément et théologiquement sur quoi repose ce
qu’on a pu m’imputer : le NOM me paraît offrir moins de
« garde-fous » au fait que certains
célébrants aient pu le célébrer sans avoir
l’intention de faire ce que
fait l’Eglise.
2° : Que dans les
circonstances ecclésiales présentes, très
préoccupantes pour tous les pasteurs et tous les catholiques de l’Eglise de France
du fait notamment de la pénurie extrême de prêtres, je
m’engage spécialement à favoriser humblement un esprit de
respect des personnes, de charité chrétienne et sacerdotale, de
souci réel du bien commun pastoral, ayant très présent
à l’esprit, pour ce qui concerne les légitimes discussions,
l’adage de Saint Augustin :
« In principiis unitas, in dubiis libertas, in omnibus
charitas ».
Je reste bien
évidemment ouvert à toutes suggestions.
En vous remerciant de l’attention que vous voudrez
bien porter à cette « déclaration », je
vous prie d’agréer, Eminence,
l’expression de ma haute considération en NSJC
Abbé Paul Aulagnier.
Pour
essayer d'obtenir du ministère, vous avez rencontré
plusieurs Evêques.
Que pouvez nous dire de ces contacts ? Les Evêques français
sont-ils prêts à accepter notre spécificité
liturgique ?
Oui, j’ai
essayé de contacter quelques évêques de France… Mgr
Faure, d’Orléans, Mgr Rolland, de Moulins, j’ai eu un
contact avec le diocèse de
J’ai aussi
visité Mgr Ricard à Bordeaux. Je l’avais rencontré
dans l’avion. Il revenait de Rome, de la visite « ad
limina » de la région de l’Ouest de
Aucune nouvelle.
Il est clair que les évêques de France ne désirent
pas gérer dans les
diocèses, le « bi-ritualisme ». Ils règlent
les problèmes ponctuels qui existent éventuellement dans leur
diocèse., sur ce sujet. Ils acceptent les décisions de Rome et du
Motu Proprio « Ecclesia Dei »… et encore avec
beaucoup d’hésitation et de peine. Les prêtres qu’ils
acceptent dans leur diocèse
et qui, pour des raisons ponctuelles, peuvent dire la messe saint Pie V,
doivent, eux, accepter le « bi-ritualisme », accepter les
deux rites…et célébrer la nouvelle messe…et, qui plus
est, accepter la concélébration… Mais ils ne veulent pas,
pas encore du moins… de leur
propre chef, faire droit
exclusivement à la messe tridentine, dans telle ou telle paroisse. Le
cardinal Castrillon Hoyos a beau déclarer que la messe de saint Pie V a
, dans l’Eglise, « droit de citoyenneté »,
cela n’entraîne pas une plus grande ouverture de la part de la
collégialité… Le cardinal Stickler a beau multiplier les
critiques théologiques de
- Vous écrivez
souvent que vous ne voulez aucunement entendre parler du Motu Proprio
« Ecclesia Dei ». Votre situation vous a
"rapproché" des différentes communautés.. Que
pouvez-vous en dire ?
Ce n’est pas ma
situation personnelle qui m’a rapproché des communautés
dépendant d’ « Ecclesia Dei ».
C’est d’une part la nécessité du
« combat », il faut cette unité. Il faut le
regroupement des forces. C’est urgent.
Toutefois, je ne change pas
de position sur le Motu Proprio « Ecclesia Dei
Adflicta ». J’y suis très opposé. Je l’ai
dit clairement à
A ce « Motu
Proprio », j’y
suis encore opposé en raison
de la situation faite à la « messe traditionnelle ».
Certes, j’applaudis à ce que l’autorité romaine demande
que l’on fasse bon accueil à ceux qui désirent cette messe
de toujours…Mais je remarque
que la législation encore en
vigueur, en cette année 1988, est celle prévue par la lettre
« Quattuor abhinc annos »…La messe traditionnelle
était, là encore, seulement
« concédée » pour des raisons purement
circonstancielles… Permettre
le retour des « lefebvristes » dans le
« giron » de l’Eglise sans pour autant
« pérenniser » les formes anciennes.
C’était l’expression
du cardinal Re. Monsieur de
Saventhem avait alors beau jeu de lui répondre, - j’aime cette phrase, je vous la
cite : « Même ecclésiologiquement, cette clause paraît
indéfendable. La « liturgie classique » du rite romain de la messe est
déjà douée de pérennité intrinsèque
en tant que monument incomparable de la foi. Son usage universel et
multi-séculaire, bien avant
Vous êtes un
témoin privilégié des 40 dernières années.
Comment regardez-vous l'Eglise
aujourd'hui ? Qu'est-ce qui a changé ? Quelles sont les sources de joies
? Des tristesses ?
Qu’est-ce qui a
changé dans l’Eglise, me demandez-vous ? Je vous
dirais : l’attitude de l’Eglise de Rome par rapport à
la messe traditionnelle. Elle en confesse
« doctrinalement » son bon droit dans l’Eglise.
Oui, je constate une évolution à ce sujet. Même une grande évolution.
Et cela est, pour moi, un motif de
joie. Voyez : entre 1974, exactement entre le 24 mai 1974, - date du Consistoire tenu par Paul VI
où le pape, de son autorité apostolique, demandait que seule la
messe nouvelle, sa messe, soit célébrée pieusement par
toutes les communautés et que sa messe n’était pas
laissée au libre choix des personnes …- et le 24 mai 2003, - où le cardinal Castrillon
Hoyos, célébrait, au nom du pape Jean-Paul II, la messe
tridentine à Sainte Marie Majeure, déclarant de plus
qu’elle avait « droit de citoyenneté » dans
la sainte Eglise - Oui, entre ces deux dates, que de chemin parcouru. Nous aurons
l’occasion, n’est-ce pas, d’en parler encore dans vos
colonnes. Le droit de la messe de
toujours est affirmé. Il suffit de le faire reconnaître par les
épiscopats. La chose semble assez facile dans les pays des USA, plus
difficile en France. Mais, remarquez-le bien, ce problème relève de la
« politique » et non plus, maintenant de la
« doctrine ». Cette distinction est très
importante. Le mouvement va dans le
bon sens. Si la victoire n’est pas encore obtenue, elle n’est plus
loin. C’est l’intime conviction du cardinal Stickler. C’est
l’opinion aujourd’hui du cardinal Medina. J’ai eu
l’occasion de le rencontrer lors de mes deux voyages romains. Il me
l’a dit explicitement. C’est ma conviction. C’est pourquoi ce
n’est pas le moment de baisser les bras.
Et c’est là
où je vois le grand intérêt de l’affaire de saint
Eloi à Bordeaux.
Voilà une situation qui, certainement, va évoluer dans le bon
sens et tout à l’avantage de la messe tridentine et de son droit
dans l’Eglise et là, en l’occurrence, par une reconnaissance de
l’épiscopat français. Après ce que je vous ai dit
plus haut, vous comprenez l’intérêt de l’affaire. Je
vous donne rendez-vous dans quelque temps. Et c’est bien dommage que les
jeunes autorités actuelles de
Pouvez nous dire en quoi
consiste votre Ministère actuel ? Quels sont les projets que vous avez ?
Mon ministère ?
Je vous l’ai dit, plus haut,
je n’ai pas de ministère…Et c’est une grande
douleur. .Ah ! Si ! j’oubliais…
Je passe mon temps sur mon « site », Item . Je vous y invite. Son animation
me prend tout mon temps. J’en
profite, aussi, pour
réfléchir, pour travailler ma théologie. Je prie. Je me
console en prenant le Père
de Foucault comme exemple. Il est
resté bien seul. Et vous croyez que son existence fut sans raison ?
Ah, Si !
j’oubliais encore. Faute de
paroisse en « chair et en os », j’ai
créé une paroisse « virtuelle », la
paroisse saint Michel. Dans ce cadre, à l’occasion du
Jubilé du Puy, j’invite ma famille. Elle sera nombreuse…Je
n’y peux rien… à venir, avec moi, essayer de gagner l’indulgence
plénière… Les samedi et dimanche 9 et 10 juillet 2005. Tout est en ordre…Même pour
la célébration de la messe saint Pie V à
La dame charmante du secrétariat ayant eu quelque crainte en
apprenant qui j’étais, me remit dans les mains du curé de
la cathédrale. Il me dit : « Oh du moment que vous
êtes en communion avec le Souverain Pontife, je ne vois pas de
difficulté à ce que vous célébriez la messe saint
Pie V en latin, dans la cathédrale ». Je l’en ai vivement
remercié. Il y a dans notre chemin de croix toujours quelques
consolations et rayons de lumière…Une raison de plus qui me fait
penser qu’une « normalisation » de notre
situation avec Rome aurait bien quelques
intérêts ». Il y a des moments où il vaut mieux
être dedans que dehors…