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Un regard sur le monde
politique et religieux
au 28 novembre 2008
N° 192
Par Monsieur l’abbé Paul Aulagnier
Difficultés d’application
du Motu Proprio
Une analyse de l’abbé
Claude Barthe
Paix Liturgique, Lettre 151 - 12 novembre 2008, publie un intéressant article de M l’abbé Barthe.
« Aujourd'hui, nous souhaitons tenter d'apporter
des éléments de réponse à tous les fidèles qui sont parfois confrontés à des
difficultés d'application concrète du Motu Proprio Summorum Pontificum
Il n'est pas rare en effet que la liturgie célébrée dans le cadre
des applications du Motu Proprio surprenne les fidèles par tel ou tel aspect ou
ne corresponde tout simplement pas à ce
qu'ils seraient en droit d'attendre eu égard aux normes en vigueur. Le plus
souvent, ces difficultés sont mal comprises par les fidèles et les dépassent.
Disons le d'emblée, au sein même des prêtres de la famille traditionnelle, des divergences d'application existent.
Aujourd'hui, grâce à Dieu, de plus en plus de prêtres diocésains se mettent à célébrer la liturgie traditionnelle. Parmi ces prêtres, nombreux sont ceux qui découvrent totalement la forme extraordinaire du rite romain qu'ils n'avaient jusque là ni célébrée ni même vue célébrée. Il n'est guère étonnant dans ce contexte, que des difficultés d'application et des approximations liturgiques se fassent jour. A chaque fois que ces réglages inévitables sont abordés avec charité, bon sens et honnêteté, il est facile de trouver des solutions et tout s'arrange rapidement. Toutefois, il arrive malheureusement que dans certains très rares endroits, ces difficultés soient instrumentalisées pour saper le mouvement de paix et de réconciliation qu'a mis en œuvre le Saint-Père.
Ainsi dans telle paroisse, le célébrant se battra avec vigueur contre les fidèles qui pratiquent par usage la récitation du Confiteor avant la communion, sous prétexte que celle-ci a été omis dans l'édition du missel de 1962 … mais en même temps, ces provocateurs font réciter le Pater par l'assistance avec le célébrant ou disent le Canon à voix haute.. ce qui n'est pas prévu dans la même édition de 1962 …
Ailleurs, comme à Verdun, l'on conditionnera l'acceptation "d'appliquer" le Motu Proprio dans le diocèse au fait que le lectionnaire utilisé soit le nouveau lectionnaire et non pas celui des livres de 1962. Il est évident que ce type de mesures divise la communauté naissante avant même son épanouissement et concourt ainsi à la mise en échec de l'expérience … Pour tenter d'y voir un peu plus clair dans un domaine si sensible, nous avons demandé à l'abbé Claude Barthe, fin connaisseur de l'esprit de la liturgie et de son histoire de nous éclairer sur ces questions ».
En matière de liturgie romaine, et sans entrer dans des
détails et nuances trop techniques, ce sont les livres liturgiques approuvés
par le Saint-Siège, qui constituent pour l’essentiel la règle incontestable. En
vertu du Motu Proprio de 2007, le missel (ré-)approuvé est celui qui correspond
à ce que l’on appelle l’« édition typique » de 1962 (édition étalon publiée par
Il faut cependant rappeler, comme préalable à des considérations qui pourraient paraître sèchement juridiques, que la science liturgique est un savoir complexe, un art à tous les sens du terme, notamment en ceci qu’il est éminemment pratique, transmis dans les nuances des détails comme dans l’ensemble du savoir-faire par une longue participation à des usages immémoriaux. Il faut en outre insister sur le fait, que le législatif liturgique est la traduction d’une esthétique sacrée, dont le pur et simple énoncé des règles ne rend pas raison, dans la mesure où le culte divin est quelque chose comme une savante chorégraphie religieuse, inséparable d’un univers formé par un espace architectural, un monde musical, un ensemble d’objets précieux, de mobilier sacré, de parements des lieux, des choses et personnes. Les Anciens (notamment ces puits de science et d’expérience liturgiques que l’on trouvait jadis dans les chapitres des cathédrales) eussent été bien surpris de nous voir nous référer sans cesse à des décrets et des instructions. Plutôt que selon : « Il a été décrété qu’on doit faire comme ceci », ils vivaient et pratiquaient le : « C’est comme cela que l’on a toujours fait ».
Pour bien me faire comprendre, je voudrais insister sur le « message » suivant : les choses liturgiques en général et celles concernant l’application aujourd’hui de la forme extraordinaire sont simples dans le principe, mais redoutablement complexes lorsque l’on descend dans le détail de l’usage. Il est vain de prétendre découvrir une norme comme métallique qui pourrait régler de soi tous les problèmes. Mais il faut en revanche que tous les usagers de cette forme cultivent un esprit de révérence amoureuse de la tradition, de respect des règles et coutumes, un amour pour une science très spécifique et ô combien ecclésiastique (c’est un traité De Ecclesia en rites et cérémonies)… et par-dessus tout qu’ils éteignent le zèle amer des querelles de clochers et de clochettes par une vraie charité cléricale (ça existe !), le tout pour le plus grand bien de la restauration du culte divin et du salut des âmes.
La raison de la règle posée par le Motu Proprio (celle de la conformité aux livres en usage en 1962) : une liturgie millénaire
Le missel de 1962 n’est rien d’autre que le missel publié
par saint Pie V en 1570, et réédité au cours de la période qui a suivi, avec
quelques modifications accidentelles (ajouts de préfaces, de fêtes de saints ;
en 1955, simplification du calendrier et de quelques rubriques de l’Office ; de
1951 à 1955, réforme de
Mais à partir de 1965, cette messe romaine de mille ans
d’âge, celle du missel de 1962 (ou si l’on veut de 1964), va subir
d’incessantes modifications préalables à sa refonte totale : décret du 27
janvier 1965 révisant les rites de la messe (parmi de nombreuses modifications
accumulées : réduction des prières au bas de l’autel, modification de la
formule de communion, abolition du dernier évangile, suppression de
génuflexions). Sont ensuite venus : le rituel de concélébration et communion
sous les deux espèces (7 mars 1965) ; le décret sur possible assistance à la
messe dominicale le samedi soir (25 septembre 1965) ; d’autres encore(5). Le
tout avec le relais de multiples décisions des conférences épiscopales :
Ce n’est donc nullement un choix arbitraire, mais un constat justifié par le bon sens, qui a guidé la décision du MP de 1988, Ecclesia Dei adflicta, confirmée par le MP de 2007 : le dernier état du missel contenant le rite romain traditionnel est celui de 1962, lequel pouvait justifier un usage au moins millénaire.
Les difficultés d’interprétation de la loi
Aussi claire que soit une loi, elle exige toujours de
nombreuses interprétations, en fonction de cas imprévus et d’obscurités que
l’usage révèle. Ces interprétations sont données généralement par l’autorité
même dont la règle émane (ou encore par le juge, au nom de cette autorité, et
dans des cas exceptionnels par les sujets de la loi eux-mêmes, qui règlent les
difficultés d’interprétation selon l’esprit de la loi). En matière de rite
romain traditionnel, ces interprétations étaient jadis données par
Or, aujourd’hui plus que jamais, depuis le MP de 2007, de multiples difficultés « techniques », grandes ou petites, peuvent se poser, en raison d’une situation totalement inédite : désormais coexistent deux formes chronologiquement successives du rite romain. Parmi les difficultés soulevées par cette coexistence : en théorie, les deux formes ne doivent pas être mélangées (cf. le MP de 1988, implicitement repris sur ce point par celui de 2007). Cependant, des cas de mélanges accidentels (généralement tout à fait minimes) sont fréquents : par exemple, messe selon la forme extraordinaire célébrée sur un autel où l’on célèbre habituellement la forme ordinaire, avec une seule nappe (non bénite), éventuellement sans pierre consacrée. Des mélanges plus importants sont à proscrire (par exemple, communion dans la main donnée au cours d’une messe selon la forme extraordinaire)(7).
Mais, à ce jour, aucune instance officielle n’a plus
d’autorité juridictionnelle pour répondre aux questions qui peuvent se poser
pour l’application de la forme traditionnelle. On se trouve en effet devant une
situation paradoxale : le MP de 2007 reconnaît la forme extraordinaire du rite
romain comme légitime. En théorie, l’interprétation des difficultés de son
application devrait relever de
Tendre vers une convenable cohésion
Il faut admettre que jusqu’en 1967, les multiples
modifications qui sont intervenues après 1965, n’ont pas touché à la substance
de la messe romaine. C’est en 1967 que la réforme lancée par Paul VI a pris un
virage radical : présentation au synode des évêques d’une « messe normative »
qui stupéfia la majorité des assistants ; promulgation ad experimentum,
en 1968, de nouvelles prières eucharistiques. Mais on peut dire qu’en 1965 et
en 1966, un prêtre qui adoptait l’une après l’autre toutes les réformes qui
pleuvaient sur le missel, sans rien y rajouter de son cru, célébrait toujours
substantiellement « la messe de saint Pie V ». On peut donc comprendre qu’en
certains lieux, qu’en certaines paroisses et qu’en certaines communautés, on
ait conservé ces réformes intermédiaires adoptées à l’époque (grosso modo
celles de 1965, ou bien une partie d’entre elles, ou encore un mixte de
réformes « accidentelles » de 1969 avec un noyau conforme à 1965), et que l’on
s’y soit tenu depuis. On peut de même s’expliquer que d’autres communautés,
d’autres lieux, d’autres personnes, pour de multiples raisons, se soient
alignés sur tout ou partie de ces usages intermédiaires.
Inversement, on peut considérer les bonnes raisons pour lesquelles, en d’autres
lieux, communautés, paroisses, on soit resté fidèle à des coutumes antérieures,
ou qu’on ait remis en vigueur tel ou tel usage plus ancien (ainsi, la revue Itinéraires
a longtemps publié un calendrier conforme aux rubriques de 1955, qui
différaient sur quelques points des rubriques précédentes, mais qui n’étaient
pas conformes aux minimes modifications de 1962 ; en d’autres lieux, s’est
maintenue la célébration de
a) que de très nombreux usagers de la forme
extraordinaire, dont
b) que certains clercs portent, au cours des cérémonies, la barrette (de règle en 1962), mais que pratiquement aucun ne porte la tonsure ;
c) que la plupart des usagers de la forme extraordinaire ont adopté les règles du jeûne eucharistique de 1964, à savoir d’une heure avant la communion, sauf pour l’eau et les médicaments (ce qui revient de facto à l’abandon du jeûne eucharistique – sur l’opportunité de laquelle l’Église seule est juge –, si l’on tient compte du temps pour se rendre à la messe et de la durée de celle-ci avant la communion)(9).
En respectant les motifs historiques et pastoraux qui ont conduit certains à adopter des réformes d’après 1962, et en recevant le bien-fondé de la conservation par d’autres d’usages ou coutumes d’avant 1962, dès lors que ceci reste contenu dans de sages limites, on se réjouira du fait que l’unité de la forme extraordinaire existe très largement et très visiblement autour des livres en usage en 1962 :
- En matière d’Office divin, elle est pratiquement universelle : on peut dire que tous ceux qui sont tenus à la récitation du Bréviaire et qui le récitent selon la forme extraordinaire, usent du Bréviaire selon l’édition typique de 1961(10).
- En matière de calendrier, la grande majorité des pratiquants de la forme extraordinaire suivent celui de 1962(11) .
- En matière de messe lue (messe basse) célébrée de manière privée, tous les prêtres, pratiquement sans exception, qui célèbrent selon la forme extraordinaire, le font selon les rubriques de 1962(12).
- Enfin, en matière de messe publique, qu’elle soit solennelle (avec diacre et sous-diacre), chantée (chants grégoriens du propre et de l’ordinaire) ou non chantée, on peut dire que le respect des rubriques de 1962 est massif.
Si donc un certain nombre de problèmes se posent quant au
respect de la norme de base (livres en usage en 1962), il ne faut aucunement
les majorer. Il faut tenter de les résoudre avec bon sens, dans le respect des
règles, en tendant vers la cohésion, pour le plus grand bien de la forme
extraordinaire et par elle du rayonnement du culte divin, mais en faisant en
sorte de ne pas nourrir des polémiques stériles qui, au nom de la recherche de
l’unité rituelle, lacéreraient la cohésion morale. Il faut aussi, et
peut-être surtout, faire preuve en ce domaine de beaucoup d’humilité : les plus
savants parmi les savants ne peuvent tout savoir en cette matière très
complexe(13), qui s’est complexifiée de manière redoutable en un certain nombre
de cas « frontaliers » entre une forme et l’autre, au point que la recherche
d’une ligne de conduite simple et absolue en ce domaine serait la poursuite
d’une utopie. Pour autant, la volonté de viser ce que l’on pourrait qualifier
d’une homogénéité traditionnelle, c'est-à-dire n’excluant pas de minimes
différences (plutôt que des divergences) dans la mise en œuvre de la loi, qui
est en l’espèce
L’abbé Claude Barthe
Notes
(1) . Pour être d’une totale précision, il faut noter que deux innovations ont
été apportées par rapport aux règles concernant le missel de 1962 :
- 1/ Le MP prévoit (art. 6) que les lectures peuvent «
aussi » être proclamées en langue vulgaire dans des traductions approuvées. En
1962, toutes les lectures de la messe devaient être proclamées en latin. En
France (et en d’autres pays), on avait cependant la faculté de « doubler » la
lecture de l’épître et de l’évangile (par la proclamation en latin, suivie de
la proclamation en langue vernaculaire). Il semble – et
- 2/ Par communiqué du 4 février
(On suppose que les deux modifications susdites – au moins la seconde – seront introduites dans la prochaine édition juxta typicam à venir du missel de 1962).
(2) Par exemple, le costume de chœur et le costume de ville des diverses catégories d’évêques (et par référence, celui des diverses catégories de prélats et de simples prêtres) est réglé par le Cérémonial des Évêques, suivi d’une innombrable série de décisions pontificales et diocésaines. Logiquement (mais très difficilement dans certains cas, et non des moindres : le costume de chœur des évêques), il faudrait s’en tenir, pour la forme extraordinaire, aux règles en usage en 1962.
(3) . La grande caractéristique de la liturgie romaine
est sans conteste l’unicité de la prière eucharistique, attestée au début du Ve
siècle par Innocent Ier, le nom même de canon donné à cette prière
eucharistique unique étant une espèce de manifeste de la règle de la foi que
Rome fixe dans sa prière.
(4) . A fortiori, qu’ils célèbrent selon la « liturgie de Vatican II », puisque
la messe célébrée au Concile n’a jamais été, et pour cause, la liturgie de 1969
(en revanche, durant la dernière session, ont été appliquées les réformes de
1965).
(5) . Décrets du 25 avril 1964 ; du 26 septembre 1964 ; du 27 janvier 1965 ; du 17 avril 1967 ; du 27 mai 1967 ; etc.
(6) . Ce fut donc l’abandon du « silence du canon »,
silence qui est l’une des particularités les plus traditionnelles et les plus
remarquables du rite romain : ce que l’Orient accomplissait dans le sanctuaire
que clôture par respect l’iconostase, l’Occident l’enferme, lui, par respect,
depuis à coup sûr le IXe siècle, mais sans doute avant, dans la récitation à
voix basse de la grande prière sacerdotale.
(7) . Le principe est analogue à celui qui interdit d’utiliser dans une même
procédure judiciaire deux « moyens » hétérogènes. Une messe romaine est un
ensemble qui doit être ordinaire ou extraordinaire. En revanche, un même prêtre
pourra le même jour célébrer une messe en une forme, une autre dans une autre
forme. Pourrait-il, de manière cohérente, dire une partie du Bréviaire du jour
dans une forme, une autre partie dans une autre forme ?
(8) . En revanche, le confiteor qui précède la bénédiction avec indulgence de l’évêque, lorsque celui la donne après la prédication, existe toujours.
(9) . Il faut cependant savoir, pour ordre, qu’avant 1953, le jeûne eucharistique était total, excluant l’absorption de la a moindre goutte d’eau, depuis minuit ; de 1953 à 1964 – et donc, en principe, en 1962 – il était de 3h pour les aliments solides et les boissons alcoolisées, de 1h pour les autres liquides, le temps étant compté avant la communion pour les fidèles, avant le début de la messe pour le prêtre, l’eau et les médicaments étant consommables à tout moment. On peut faire valoir que ces dernières règles, comme celles de la récitation du Rosaire, de la discipline des jours de jeûne, ou de celle de l’abstinence du vendredi, ne relèvent pas des livres liturgiques. Mais on peut aussi admettre que le jeûne eucharistique et les jours de jeûnes sont « liturgiques », puisque évoqués dans les livres liturgiques, leur régulation ayant été ensuite à maintes reprises précisée par des documents pontificaux. In dubio…
(10) . Mais il reste cependant une foule de difficultés : l’ordination selon la forme extraordinaire oblige-t-elle absolument ou seulement préférentiellement, à réciter le Bréviaire selon la forme extraordinaire ? Dans la forme extraordinaire, on est tenu, sous peine de péché grave, de réciter le bréviaire à partir de l’ordre du sous-diaconat, lequel a été supprimé dans la forme ordinaire, où la charge de dire l’Office divin est liée à l’ordre du diaconat. Dès lors, un sous-diacre « extraordinaire » est-il tenu sub gravi à la récitation du bréviaire ? Etc.
(11) . Rarissimes sont ceux qui, par exemple, célèbrent
encore l’octave de l’Ascension,
(12) A quelques infimes détails près : certains, plus « réactionnaires », vont dire, dans telle messe de pénitence, un Benedicamus Domino, que les rubriques de 1962 ont remplacé par Ite missa est ; d’autres plus « progressistes », parfois les mêmes, vont s’autoriser, en fonctions des circonstances, à célébrer la messe sans servant ni assistant pour leur répondre, ce qui n’était pas autorisé en 1962.
13) . Qu’on songe, par exemple, à la science et au savoir-faire nécessaires pour les célébrations épiscopales et prélatices selon les fastes du Pontifical et du Cérémonial des Évêques en usage en 1962.
Pour en savoir plus vous pouvez connsulter
- Rites à observer dans la célébration de
- Les normes du rit romain en sa forme extraordinaire
:
- Le très remarquable site Internet : Cérémoniaire, http://www.ceremoniaire.net
- Les manuels de cérémonies. Ceux existant en français (Strecky, Hébert) sont indispensables pour organiser une cérémonie, mais ils ont été édités avant les petites modifications de 1962. De celles-ci tiennent comptent des manuels étrangers (en italien, Trimeloni, en anglais, Fortescue revu par Alcuin Reid – ce dernier manuel est en cours de traduction, pour paraître sur le site Cérémoniaire et aux éditions Tempora).
- Le DVD pour apprendre à célébrer la messe
traditionnelle, édité par
- Le manuel très didactique de l’abbé Pierre-Emmanuel Desaint : Apprendre la célébration de la messe basse selon le Missel de 1962, 1 rue du Connétable, BP 90123 Chantilly