Paroisse catholique
Saint Michel
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Semaine du 17 au 23 mai 2004 Cinquième dimanche après Pâques |
Le mystère de l’Ascension
de Jésus ! Quel est-il ? Désormais, son nom est si grand que « tout genou fléchit devant lui au ciel, sur la terre, dans les enfers…que toute langue publie qu’il vit et règne à jamais dans la gloire de Dieu le Père » (Selon Philip 2 10-11) Et de fait, depuis cette heure, l’Apocalypse nous montre « la multitude innombrable des élus de la Jérusalem céleste, dont l’Agneau immolé est l’éternelle lumière, jetant leurs couronnes à ses pieds, se prosternant eux-mêmes devant lui, et proclamant en un cœur puissant comme le bruit de la mer, qu’il est digne de tout bonheur, de toute gloire, parce que leur salut et leur béatitude trouvent en lui leur principe et leur fin. » Et de fait, sur la terre aussi, chaque jour, durant l’action sainte de la messe, l’Eglise fait monter, dans ses temples, ses louanges et ses supplications vers celui qui est glorifié dans les cieux : « Vous qui êtes assis à la droite du Père, ayez pitié de nous, parce que vous êtes seul Saint, seul Seigneur, seul Très haut, Ô Jésus-Christ, avec l’Esprit-Saint dans la gloire de Dieu votre Père ; tu solus Altissimus, Jesus Christe…in gloria Dei Patris » Et de fait, encore, depuis cette
heure de gloire pour le Christ, les princes des ténèbres,
dépouillés, par sa victoire , de leur proie pour toujours
: « captivam duxit captivitatem » sont remplis de terreur
au seul nom de Jésus et contraints d’abaisser leur
orgueil devant le signe victorieux de sa Croix. Ce mystère fait naître en nos âmes joie et confiance. Deux sentiments importants pour nos âmes et notre force en ce monde a) Et d’abord pourquoi nous réjouir ? Notre Seigneur disait lui-même
à ses Apôtres avant de les quitter : « si diligeretis
me, gauderetis utique quia vado ad Patrem », « Si vous
m’aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je vais à
mon Père ». A nous aussi le Christ redit ces paroles.
Si nous l’aimions, nous nous réjouirions de sa glorification
; nous nous réjouirions de ce que, ayant achevé sa
course, il remonte à la droite de son Père, pour y
être exalté au plus haut des cieux, pour y goûter
après ses travaux, ses souffrances et sa mort, un repos éternel
dans une gloire incommensurable. Une félicité l’enveloppe
et le pénètre pour toujours dans le sein de la divinité
; la suprême puissance lui est donnée sur toute créature.
Voyez comment l’Eglise nous invite, dans sa liturgie, à célébrer avec allégresse cette exaltation de son Epoux, notre Dieu et notre Rédempteur. La liturgie est vraiment une vie. Tantôt elle presse toutes les nations de faire éclater la plénitude de leur joie en des hymnes répétés. « Omnes gentes, plaudite manibus », « Nations entières, applaudissez !Exaltez Dieu en des cris de jubilation ». « Jubilate Deo in voce exultationis ». Car le Seigneur s’élève au milieu des acclamations et les trompettes célèbrent sa venue dans le Ciel. Chantez à notre Dieu ! Chantez à notre Roi ! Chantez d’harmonieux cantiques ! Car le Seigneur règne sur les nations, et siège sur son trône saint ». « Ascendit Deus in jubilo et Dominus in voce tubae », « Exaltez le Roi des rois et chantez un hymne à Dieu » ! « Exaltate Regem regum, et hymnum dicite Deo ». Tantôt elle interpelle les puissances angéliques. « Ouvrez vos portes, princes des cieux, afin que le Roi de gloire fasse son entrée », « Attollite portas, principes vestras, et introibit Rex gloriae ». Etonnés les anges demandent : « Qui est le Roi de gloire » ? « Quis est iste Rex gloriae » ? C’est le Seigneur plein de force et de puissance, le Seigneur qui fait éclater sa vigueur dans les combats : « Dominus fortis et potens, Dominus potens in praelio ». Et les Esprits célestes répètent : « Quel est donc ce Roi de gloire » ? « C’est le Seigneur des armées, lui seul est le roi de gloire », « Ipse est Rex gloriae » ! (Ps 23) Tantôt enfin, dans un langage très poétique, l’Eglise s’adresse à son Epoux lui-même : « Elevez vous, Seigneur, par votre divine force, car nous chanterons et nous célébrerons vos triomphes » « Exaltate, Domine, in virtute tua : cantabimus et psallemus virtutes tuas »(Ps 20). « Votre gloire resplendit dans les hauteurs des cieux ». « Des nuées, vous faites votre char ; vous vous avancez sur les ailes des vents ; vous vous êtes revêtu de majesté et de splendeur ; vous vous êtes enveloppé de lumière comme d’un manteau ». « Confessionem et decorem induisti, amictus luminus sicut vestimento »(Ps103) Oui, réjouissons-nous. Ceux qui aiment leur Maître éprouvent une joie réelle à le contempler dans le mystère de son Ascension, sa glorification bien méritée et qui lui coûta si cher ! Réjouissons-nous encore de ce que ce triomphe et cette glorification de Jésus sont aussi les nôtres. « Ascendo ad Patrem meum et Patrem vestrum, Deum meum et Deum vestrum », « Je m’en retourne à mon Père qui est aussi votre Père, à mon Dieu qui est aussi votre Dieu ». S’il pénètre dans son royaume glorieux, c’est « pour nous y préparer une place », : « Vado parare vobis locum ». Il promet de revenir un jour pour nous prendre, pour nous y faire asseoir, afin, dit-il, « que nous soyons où il est » (Jn 14 2-3) Ainsi, nous sommes déjà en droit, dans la gloire et la félicité du Christ. Nous y serons un jour en réalité. N’a-t-il pas demandé à son Père dans sa prière sacerdotale ? « Volo, Pater, ut ubi sum ego et illi sint mecum (Jn 17 24). Quelle puissance dans cette prière et quelle douceur dans cette promesse ! Laissons donc aller nos cœurs à cette joie intime et méditons les beaux sentiments que l’Eglise nous fait chanter à Vêpres dans l’hymne : « O vous sauveur de tous les
hommes, Quelle bonté vous forçait
donc Des enfers vous forcez les portes, Cédant à la compassion, O guide et chemin vers les cieux, b- pourquoi vivre dans la confiance Notre confiance trouve surtout son principe dans le crédit tout-puissant que possède le Christ auprès de son Père. Il est le Pontife suprême intercédant pour nous auprès de son Père. Comment pourrait-il lui refuser une demande, lui qui a offert un si sublime sacrifice dans une obéissante si parfaite ? Avouez ! Saint Paul dans sa merveilleuse épître aux Hébreux nous en livre le secret. Vous le savez, j’y ai ici déjà beaucoup insisté. Souvenez-vous de Méliton de Sardre ! Voyez son homélie sur la Pâque. Je l’ai fort utilisée lorsque nous méditions la Pâque du Seigneur. l’Ancien Testament est pour le Nouveau Testament. Il le préfigure. Il préfigure ce qui se réalisera vraiment dans le Nouveau Testament. L’Ancien Testament est une préparation, une figure du Nouveau Testament. C’est ce que veut dire Saint Paul lorsqu’il écrit, dans ses épîtres aux Corinthiens et aux Colossiens : « Haec omnia in figura contingebant ills ( 1Cor 10 11)…Umbra futurorum (Col 2 17). Oui l’Ancienne Alliance présageait, dans ses rites, dans ses sacrifices innombrables, dans son Temple, les splendeurs de la Loi Nouvelle fondée par le Christ Jésus. Ainsi Saint Paul, dans son Epître aux Hébreux, rappelle-t-il quelle était la structure du Temple de Jérusalem dont Dieu lui-même avait réglé tous les détails. « Il y avait, dit-il, un premier « tabernacle » appelé le Saint ; les prêtes y entraient en tout temps pour le service du culte ; au delà d’un voile, se trouvait un second tabernacle appelé le « Saint des saints » où étaient l’autel d’or et d’encens et l’arche d’alliance » ; (Hb 9 2-4) Or ce « Saint des saints »
était le centre vers lequel convergeait tout le culte d’Israël.
Et pourquoi ? C’était le symbole de la présence
de Dieu. Là, Dieu faisait sa demeure toute spéciale.
Là, il avait promis de se tenir : « de tenir fixé
ses yeux et son cœur » (3 Reg 9 3) Ce saint lieu était si majestueux, en raison même de la majesté de Dieu que seul le Pontife suprême pouvait y entrer. L’entrée en était interdite à tout autre que lui, sous peine de mort. Le Pontife devait y entrer revêtu des habits sacerdotaux, portant sur sa poitrine, le mystérieux « rational », assemblage de 12 pierres précieuses sur lequel se trouvaient gravés les noms des tribus d’Israël. Il n’y entrait qu’une fois l’an et encore devait-il avoir immolé d’abord en dehors deux victimes : l’une pour ses propres péchés, l’autres pour les péchés des peuples. Il aspergeait alors de leur sang le « propitiatoire » où reposait la majesté divine. Ce sacrifice solennel constituait l’acte suprême le plus auguste du sacerdoce. Mais tout cela n’était que figure. Où est la réalité ? Où est le sacrifice signifié, préfiguré ? Il est en Jésus-Christ. Le Christ Jésus est le Pontife suprême. Un pontife saint, immaculé, séparé des pécheurs et plus élevé même que les cieux. C’est lui qui pénètre dans le Tabernacle, dans un Tabernacle non pas crée de la main des hommes, « non huius creationis « (Hb 9 11), mais dans « le Ciel des cieux », dans le sanctuaire de la divinité « ad interiora velaminis ». Comme le grand prêtre, il y entre en portant le sang de la victime. Quel Victime ? Non point des victimes animales, comme sous l’Ancien Testament. Non ! Ce sang n’est autre que « son propre sang » « per propriam sanguinem, sang précieux, d’une valeur infinie, versé « au dehors » c’est-à-dire sur la terre, répandu pour les péchés, non plus du seul peuple juif, mais de l’humanité toute entière. Il y pénètre à travers le voile de sa sainte humanité. Et c’est à travers ce voile que la voie du Ciel nous est désormais ouverte. Enfin il y pénètre
non point une fois l’an, mais une fois pour toutes car son
sacrifice étant parfait et d’un prix infini, il est
unique et suffit à procurer pour toujours la perfection à
ceux qu’il veut sanctifier. « Car, par une oblation
unique, il a amené à la perfection pour toujours ceux
qui sont sanctifiés » (Hb 10 14) Avant lui on ne pouvait pénétrer dans les cieux. Impossible de franchir le voile du « Saint des saints » : Hb 9 8. Mais le Christ, par sa mort et sa croix, a réconcilié l’humanité avec son Père. Et c’est pourquoi quand il a expiré, le voile du temple s’est déchiré en deux. C’est-à-dire que l’Ancien Testament est caduque. Son culte a cessé. Il n’a plus de légitimité. Mais surtout par ce que le Christ nous rouvrait les portes du Ciel et nous rendait l’entrée dans l’héritage éternel. Ainsi au jour de l’Ascension, le Christ, grand Pontife, Pontife suprême de la race humaine, nous emporte avec lui dans les cieux en droit et en espérance. N’oubliez jamais que ce n’est que par Lui que nous pouvons y entrer. Aucun homme ne peut entrer dans le « Saint de saints » qu’avec lui. Aucune créature ne peut jouir de la félicité éternelle qu’à la suite de Jésus. C’est le prix de son sacrifice, porté dans le « Saint des saints » avec ses stigmates qui nous vaut la béatitude infinie. Et c’est ainsi que l’on peut apprécier, comme il convient, ces belles considérations de Saint Augustin dans sa deuxième homélie sur l’Evangile de saint Jean : « Afin donc qu’il y ait aussi un chemin par lequel nous puissions aller, celui à qui nous voulions aller est venu de là-bas jusqu’à nous. Et qu’a-t-il fait ? Il a disposé un bois qui nous permettrait de passer la mer. Car personne ne peut traverser la mer de ce siècle s’il n’est porté par la croix du Christ. A cette croix s’attache même parfois quelqu’un qui a les yeux malades. Que celui qui n’aperçoit pas au loin où il lui faut aller ne se détache pas de la croix : elle-même le conduira jusqu’au terme. « C’est pourquoi, mes
frères, je souhaite avoir introduit cette conviction dans
vos cœurs : si vous voulez vivre pieusement et chrétiennement,
adhérez au Christ selon ce qu’il est devenu pour nous
afin de parvenir à lui selon ce qu’il est ; selon ce
qu’il était, il est venu à nous afin de se faire
pour nous ce qu’il n’était pas, car il s’est
fait pour nous celui qui porterait les faibles, leur ferait traverser
l’océan du siècle et les mènerait jusqu’à
la patrie où il n’y aura plus besoin de navire, parce
qu’il n’y a pas de mer à traverser. Il vaut donc
mieux ne pas voir ce qui est avec son intelligence et ne pas se
détacher pourtant de la croix du Christ que de voir ce qui
est avec son intelligence et de mépriser la croix du Christ
3. Mais il est préférable, et il est excellent, si
faire se peut, de voir où il faut aller et, tout ensemble,
de se tenir attaché à ce qui porte les voyageurs jusqu’au
terme. C’ est ce qu’on pu faire les grandes intelligences
des monts, ceux qui sont appelés les monts, ceux que la lumière
de la justice éclaire par-dessus tous les autres : ils ont
pu le faire et ils ont vu ce qui est. Car c’est en le voyant
que Jean disait : Au commencement était le Verbe, et le Verbe
était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu
4. Ils ont vu et, afin de parvenir à ce qu’ils voyaient
de loin, ils ne se sont pas éloignés de la croix du
Christ, ils n’ont pas méprisé l’humilité
du Christ. Quant aux petits qui ne peuvent s’élever
à la même intelligence, s’ils ne s’éloignent
pas de la croix, de la passion et de la résurrection du Christ,
c’est sur le même navire qu’ils sont conduits
Durant toute l’éternité, nous confesserons cette vérité, nous adorerons ces saintes plaies. Nous adorerons son immolation, son sacrifice, cette croix qui valent notre gloire et notre béatitude. A Lui, l’Agneau immolé, Grand prêtre toute louange et toute action de grâce. Et que fait le Pontife suprême dans les Cieux ? Saint Paul nous le dit, toujours dans cet Epître aux Hébreux : « il est entré dans le Ciel afin de se tenir désormais, pour nous présent devant la face de Dieu » (Hb 9 24). Son sacerdoce est éternel. Sa médiation est éternelle. Son intercession immense. « Semper vivens ad interpellendum pro nobis ». C’est-à-dire qu’il redit sans cesse sa prière sacerdotale : « Père c’est pour eux que je prie…Ils sont dans le monde… Gardez ceux que vous m’avez donnés…Je prie pour eux afin qu’ils aient en eux la plénitude la joie…Père je veux que là où je suis, ils soient avec moi afin qu’ils voient la gloire que vous m’avez donné…afin que l’amour dont vous m’avez aimé soit en eux et que je sois moi aussi en eux ». Vraiment comment ces sublimes vérités de notre foi ne feraient-elles pas naître en nous une inébranlable confiance ? « Jésus-Christ prie pour nous toujours » « Car si le sang des boucs et des taureaux, si la cendre d’une vache, dont on asperge ceux qui sont souillés, sanctifient de manière à procurer la pureté de la chair, combien plus le sang du Christ qui, par l’Esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il notre conscience des œuvres mortes pour que nous servions le Dieu vivant ? « (Hb 9 13-14) Ayez donc une confiance absolue
dans le Sacrifice et la prière de Notre Pontife suprême.
Il a pénétré dans les cieux, comme jadis le
Pontife dans le « Saint des saints ».
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Je me décourageais à la vue de mes imperfections, raconte l’une d’entre elles, Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus me dit : « Vous me faites penser au tout petit enfant qui commence à se tenir debout, mais ne sait pas encore marcher. Voulant absolument atteindre le haut d’un escalier pour retrouver sa maman , il lève son petit pied afin de monter la première marche. Peine inutile ! il retombe toujours sans pouvoir avancer. Eh bien, soyez ce petit enfant ; par la pratique de toutes les vertus, levez toujours votre petit pied pour gravir l’escalier de la sainteté, et ne vous imaginez pas que vous pourrez monter même la première marche ! non ; mais le Bon Dieu ne demande de vous que la bonne volonté. Du haut de cet escalier, il vous regarde avec amour. Bientôt, vaincu par vos efforts inutiles, il descendra lui-même, et, vous prenant dans ses bras, vous emportera pour toujours dans son royaume où vous ne le quitterez plus. Mais, si vous cessez de lever votre petit pied, il vous laissera longtemps sur la terre » « Le seul moyen de faire de rapides
progrès dans la voie de l’amour, disait-elle, est celui
de rester toujours bien petite ; c’est ainsi que j’ai fait
; aussi maintenant je puis chanter avec notre Père saint Jean
de la Croix : « Et m’abaissant si bas, si bas, Dans une tentation qui me semblait insurmontable,
je lui dis : « Cette fois, je ne puis me mettre au-dessus, c’est
impossible. » Elle me répondit : +++++ « Notre Seigneur répondait
autrefois à la mère des fils de Zébédée
: « Pour être à ma droite et à ma gauche,
c’est à ceux à qui mon Père l’a destiné
» (Mt 20 23) Je me figure que ces places de choix, refusées
à de grands saints, à des martyrs, seront le partage de
petits enfants.
+++++ « Mes protecteurs au ciel et mes privilégiés sont ceux qui l’ont volé, comme les saints Innocents et le bon larron. Les grands saints l’ont gagné par leurs œuvres ; moi, je veux imiter les voleurs, je veux l’avoir par ruse, une ruse d’amour qui m’ en ouvrira l’entrée, à moi et aux pauvres pécheurs. L’Esprit Saint m’encourage, puisqu’il dit dans les proverbes : « O tout petit ! Venez, apprenez de moi la finesse » (Pro 1,4)
« Si je n’avais pas été
acceptée au Carmel, je serais entrée dans un Refuge, pour
y vivre inconnue et méprisée, au milieu des pauvres «
repenties ». Mon bonheur aurait été de passer pour
telle à tous les yeux ; et je me serais faite l’apôtre
de mes compagnes, leur disant ce que je pense de la miséricorde
du Bon Dieu…
+++++ « Il me semble que l’humilité c’est la vérité. Je ne sais pas si je suis humble, mais je sais que je vois la vérité en toutes choses. ». +++++ « Vraiment vous êtes une
sainte !
« Le bon Dieu a pour vous un amour
particulier, puisqu’il vous confie d’autres âmes.
Le mariage entre personnes homosexuelles qui va, vraisemblablement,
être "célébré à la mairie de
Bègles, le 5 juin prochain, relance le problème de la
légitimité de telles "unions".
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